Tu as peur jolie louve ? [PV Thalia ]

Une nuit froide et sinistre englobait la foret de toute sa noirceur en ce soir d'hiver. Se détachant lentement dans la pénombre, un loup au pelage roux sombre s'y avançait en prenant un pas lent et assuré. D'un air méprisant, il scrutait la foret de son regard le plus dur. Il n'y avait pas le moindre bruit. Ni chants d'oiseaux, ni même un léger vent pour agiter les branches de ces arbres décharnés. Seul les pattes de Phoenix foulant le sol étaient capables de provoquer un léger bruissement. Cette atmosphère pensante était bien loin d'être agréable pour le mercenaire aux yeux bleus qui, malgré ses muscles saillants, commençait à ressentir les premiers signes de la fatigue.
Une odeur acre et infecte de sang se sentait clairement dans cette foret. Comme le loup y était entré depuis des heures déjà, il s'y était habitué et n'y prenait plus garde bien que ces senteurs acides commençaient à lui monter à la tête. Démotivé à aller plus loin encore, Phoenix s'arrêta au beau milieu d'une clairière au sol infertile. Ses yeux la balayèrent furtivement avant qu'il ne s'y asseye pour reprendre son souffle.

La nuit était sinistre, des bruits et des crient se faisaient entendre. Je n'avais jamais sortis de chez moi la nuit, mais je me suis toujours demandée se que sa faisait de se balader dans la nuit noir. Je sortais de ma tanière, les oreilles baissés et les pas silencieux. Je ne voulais pas réveiller la meute, ce serait ma faute et j'aime pas qu'on me mette tout sur le dos. Le ciel était étoilée, les feuillages étaient sombres et noires, bien sur. Je m'aventurai alors sur un chemin quelconque. Je me demandais sa faisait combien de temps que je n'avais pas mangée, peu être assez longtemps pour que mon ventre se manifeste ? Oui sa devais surement être sa, car des grondement se fit entendre. Je soupirai, ce n'était pas on boulot de chasser, moi j'étais et voulais être Espionne. Je suis née dans l'espionnage, il est normal que je finisse ma vie en espionne non ? J'avais des tonnes et des tonnes de connaissance. Ouais, bon, sa m'embêtais de l'avouer mais mon père … je le hais. Il n'a jamais fait attention à mon pauvre frère, il était comme un décor pour lui, sa me révoltais. Qu'il soit mort me révoltait encore plus, Coba avait beaucoup payée à cause de lui et des autres louveteaux. Mon père n'était qu'un être abominable à qui je souhaitais la mort ! Si jamais un jour je le vois, je le tue c'est simple. La colère qui faisait rage en moi. Sa se sentais à mon regard. Je n'étais pas une meurtrière, mais quand on s'en prend au gens que j'aime, je peux devenir très très méchante. Mon père m'avait appris plein de chose sur l'espionnage, je l'était très reconnaissante pour sa, mais pour le reste, rien, nada ! Je respirais un grand coup pour me calmer, je fermais les yeux pour essayer de faire le calme en moi, même si c'était bien mal partis. C'est drôle à dire, mais maintenant j'en voulais beaucoup à la louve blanche de m'avoir montrée ma mère morte. J'aurai préférée la savoir en vie. Avoir une bonne image d'elle vivante, souriante, alors que la tous se que j'avais c'était une image d'elle morte. Pourquoi la faire apparaitre alors que je ne pourrais plus la revoir en suite ? C'est si stupide .. Et je vous avoue que je ne m'entendais pas très bien avec Tsiguane, elle m'avait adoptée sans mon autorisation, et ma mère m'avait abandonner dans les pattes d'une louve inconnu. Comment rester calme dans ses circonstance ?

Le chemin était légèrement brumeux, mais je devrai réussir à trouver une proie. Je reniflais le sol, je n'avais aucune piste pour le moment, mais généralement les animaux sorte la nuit donc je ne devrai pas avoir de mal à trouver un lapin. Comme je l'avais devinée, je sentis une piste me piquer le museau. Je suivis l'odeur jusqu'à arriver vers un terrier. Je vous parierais n'importe quoi qu'un lapin s'y trouvait. Mais lorsque j'allais pointer mon museau à l'intérieur du trou, un énorme lièvre surgit et fit un bond au dessus de ma tête. Dans les cas normal, j'aurai hurler, mais la, la faim me tenaillais tellement que suivis le lapin dans une course folle. Je courrais à toute allure après lui, mais il était assez loin, je n'avais aucune chance de le rattraper. Nous nous lancions dans une course folle à travers la foret, je n'avais pas remarquée le changement de territoire, j'étais à présent chez mon '' copain'' Orgonax. On peut dire copain, car dans toutes les circonstances, il m'appréciait. Bizarre non ?. Je n'était plus sur mes bonnes vieille terres du Sud, mais sur ceux de l'Ouest. Mon regard faisait des va et des viens sur le chemin, j'étais méfiante et à la fois alertée au moindre mouvement. Parce que les Ouest sont de terrible prédateur, du moins, ils ne valent pas ceux de l'Est, qui sont bien plus méchant. L'Ouest à coté, se sont des gentils petits chiens. D'ailleurs je suis presque sur que si ils entendaient mes pensées en ce moments, je serai déjà morte. Mais bon ils ne me font pas peur, se sont juste des pauvre chien qui cherche à faire la loi et à faire peur alors que en faite ils sont tout simplement ridicule, comme l'Est. j'ai déjà affrontée Orgonax, le pire c'est que je suis montée dans son estime et il me considère comme une amie. Il n'aura pas fallu longtemps pour qu'il craque à mon charme ! Non je rigole, c'est juste que je me suis battu avec lui, et paf d'un coup je passe du titre ennemis à amie. C'est bizarre non ? Au début il voulait me croquer, en suite il voulait faire de moi une arme, et pour conclure le tout je suis passée de déjeuné à Arme à amie. Le dominant de l'Est, le tyran de la crainte, est mon amie. C'est dur à réaliser, je vous l'avoue. Je continuai ma lancer, quand je m'arrêta soudain, net. Un loup brun, au beaux muscles étincelants se tenais debout, il avait l'air fatiguée. Je reculais de quelques mètres, mon lapin m'avait échappée, de toute façon je n'aura pas pu le rattraper.

Phoenix se raidit. La au milieu des ombres et des odeurs putrides semblait se trouver un être qui n'était pas fait d'écorce et de sève. Un être qui venait tout juste de le rejoindre pour se planter face à lui, un loup blanc ... Sa tête rousse s'abaissa pour permettre à ses yeux bleus de le scruter silencieusement. Dans son attitude méfiante et dominante, le mercenaire lui recommandait de ne pas s'approcher d'avantage de lui. A en croire l'odeur qu'il portait, cet animal n'était pas des seins et n'avait rien à faire sur ses terres. En d'autres thermes, il allait mourir. Les crocs de Phoenix se découvrirent d'un seul coup pour lui permettre de gronder avec puissance. L'envie de lui sauter à la gorge pour l'achever directement était forte mais il fallait d'abord, comme le dominant le disait, demander la raison de l'intrusion. Dans certains cas, les intrus étaient des messagers et beaucoup avaient fait l'erreur de les tuer sans avoir demandé ce qu'ils voulaient.

- Qui êtes vous et que faites vous sur ces terres interdites ?! »
Lança Phoenix d'une voix grave qui déchira royalement le silence. Sa fourrure s'enflamma alors de toute sa longueur pour éclairer les lieux d'une lumière orangée et pour les baigner dans une bonne chaleur. Douces et furtives, ses flammes se tordaient tout autour de lui tendit qu'il observait l'autre loup d'un regard massacreur. Dans la lumière incandescente qu'il venait de créer, Phoenix comprit qu'il s'agissait en faite d'une femelle ... Ses flammes rougeoyantes luisaient dans ses prunelles d'un bleu éclatant. Pas le même bleu que les siens ... Un bleu turquoise et enchanteur. Sans qu'il ne s'en rende compte, son expression se calma tout comme son attitude. Elle ne semblait pas méchante ... Il fallait également reconnaitre qu'elle était très jolie.

Ce loup pétait le feu. Et c'est le cas de le dire, ce n'est pas un simple jeux de mot quand on voit un loup s'enflammer. Intéressant moi je dis, imaginez un combat, la foudre contre le feu. Sa doit être passionnant ! Enfin du moins, pour ma part car je suis déjà sur qu'il a plus d'expérience que moi. Il était bien musclé et grand, cela me fit décrocher un petit sourire. Ce qui me surpris le plus c'est que dès qu'il ma vu il a arrêter de s'enflammer. Déjà, je peux vous dire qu'a l'odeur on remarque tout de suite que c'est un Est. Beurk, encore un et toujours. En ce moment je n'arrêtais pas de tomber sur eux, et plus je les vois, plus j'ai la tête qui bouillonne. Dans le sens contraire ? Moins je les vois, mieux je me porte. Mais bon, sa '' non attaque'' cachais quelque chose. Peu être que son ''maître'', Orgonax, refusait qu'on me touche ? Je crois qu'il valais mieux pas rêver. En tout cas, quand il avait fais sortir ses flammes de son pelage, il avait éclairé la forêt. Je soupirais, avant de lever mes yeux bleus au ciel. Mon ventre récria famine, j'aurais voulu lui dire : Non ! Pas maintenant ! Mais la faim le remportais. Je baissais légèrement les yeux sur les traces de pattes du lapin qui commençais à disparaître. Vous imaginez ? Je vais bientôt avoir 1 an et je viens de rater une chasse. Bon, en même temps je ne veux pas devenir chasseuse, mais espionne ! J'ai d'excellente qualités en plus. Je plongeais alors mon regard bleu dans celui du loup. Ses yeux était comme les miens, bleus, avec une vague illumination dans le regard. Je me surpris même à avoir les joues qui fume. Non, je n'ai pas rougis, j'ai simplement dis que j'avais les joue qui fumais. Je secouais la tête, vaguement perdu, je devais faire quoi la ? Attaquer ? Être gentille ? Ou chiante ? Oui, comme je disais, je suis perdu !

Je fis quelque pas sur le sol, il était tiéde et la pelouse était remplis de magnifique fleur. Le printemps, sans aucun doute. La forêt était assez sombre, c'était quoi déjà la légende ? A oui : Des arbres et encore des arbres, une forêt particulièrement effrayante même pour les plus courageux. D'étrange hurlement se fait pressentir, l'odeur du sang vous remplis les narines. C'est bois pue la mort et ça tout le monde le sait car ces bien ici que la Meute de L’est chasse. Donc il est très dangereux de se balader seul en particulier la nuit. C'était Tsiguane qui m'avais racontée sa. Elle n'avais pas tord, sa puait, le sang, la mort. Et si l'Est chasse ici, j'imagine que les cadavres ne devais pas être très loin. Je fis une mine écœuré. Comment je m'étais retrouvée ici moi ? Pourtant je croyais que la nuit tout les sens d'un loup se réveillais et nous guidais. Tanpis, de toute façon je n'allais pas rester éternellement ici, j'avais autre chose à faire. Quoi que .. La vue n'était pas si mal ( /PAN/). Au la vilaine dragueuse. Je fis alors un sourire mesquin au loup juste devant moi, montrant ainsi que je n'avais aucunement peur de lui. De toute façon je tombe toujours sur des loups bizarre, à croire que je les attires. Et comme par hazard, se sont toujours des Est ou des Ouest. Enfin bon, mon regard se déplaça de nouveau sur lui, qui je suis ? Le pape. Qu'es ce que je fais ici ? Du tricot. Non mais sans rire, à mon odeur il doit bien savoir d'ou je viens quand même ! Puis se sont pas ces oignons se que je fais ici. « Je suis quelqu'un et je fais quelque chose !» grogna-je. En réalité je m'appelle Thalia et j'essaye désespérément de chasser.