Je te connais toi... Mais toi non par-contre ! [ Prio : Tidaro Darcksoul et Sixtine ]

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Aujourd'hui, le temps est frais mais sec. Le vent souffle dans les arbres et fait voler les feuilles qui commencent à reprendre vie après le grand froid de l'hiver. En effet, la température semble remonter lentement mais sûrement. Le soleil monte dans le ciel et fait fondre le peu de neige qu'il reste sur le sol et dans les arbres. Mais malgré tout, le vent reste glacial. Certes il est plus léger qu'avant mais toujours aussi froid. Il fait voler ma fourrure blanche mais aussi pleurer mes yeux dorés. Le froid est si agressif, que j'avance avec mes yeux à demi clos. De temps en temps, il s'arrête de souffler. Mes yeux peuvent alors profiter de l'air plus calme. Mais rapidement, le vent se remet à souffler et attaque de nouveau mes yeux. Je continue de braver les éléments à travers mon territoire.

Le soleil s'élève et réchauffe un peu plus les terres de L'est mais le vent est toujours aussi présent et aussi agressif. J'avance encore pendant une quinzaine de minutes et débouche à la rivière. La rivière où s'écoule ce liquide rouge et épais. L'odeur du sang me repousse un peu mais je viens m'asseoir au bord, regarde de l'autre côté. Le vent semble s'être calmé donc je profite un peu de ce moment de calme. Il n'y a aucun oiseau qui chante à proximité, aucun animal pour manifester un quelconque signe de vie. Seul la rivière bouge dans le coin, bercer par le vent que se remet soudainement à souffler. Un souffle si léger qu'il ne fait bouger que le sang de la rivière. Je me perds à regarder ce rouge intense. Je finis par m'effondrer juste devant la rivière. Mon visage est éclaté contre le sol, mon corps est inanimé pendant un moment. Le silence me berce, je ferme mes yeux et commence à somnoler un peu.

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Je me baladais aux alentours de la rivière de sang. Un peu plus tôt j'avais tué un loup sous un ordre. Il était donc indispensable de maquiller les traces de ce meurtre. Et pour cela il me suffisait de plonger dans la rivière. Bien sur, ça ne m'égaillait pas du tout. En plus le sang, ça colle. Mmm... Je n'étais pas seule... Frehley était là aussi. Je me demande pourquoi. Enfin, je pourrai toujours le lui demander. Une autre odeur inconnue me chatouillait les narines mais je n'arrivais pas à savoir qui c'était et où il était... Le vent devait l'emporter. Je soupirai et optai d'observer mon ami. Il regardait le liquide rouge. Lui aussi n'était guère enchanté. Au bout d'un moment il s’effondre à terre et s'endort. Je lui attrape la peau du coup sans hésiter et le retient de tomber dans le sang. Je l'emmène un peu plus loin de la berge, le laisse et finit par prendre mon bain forcé.

Le liquide est poisseux et désagréable. Je n'y prends aucun plaisir et ressort immédiatement. Voilà c'est fait. Aucune preuve contre moi. Je peux enfin souffler un peu. J'affiche un petit sourire qui n'est pas le mien mais celui de mon ego sadique. Un rire franchit mes lèvres et enfin je me tais. *Arrête de rigoler bêtement !* Voyant que cet autre moi est parti, je fais ma toilette. Le gout est amer. Une horreur qui pourtant me plait sur certains coups de langue. Ma fourrure se retrouve blanche, et à quelques endroits orange. Assez fière de moi je pousse un petit jappement et me tourne vers Frehley. C'est étrange, pourquoi s'est-il évanoui ? En tout cas il me doit une fière chandelle. Je l'apprécie de plus en plus ce mâle. Depuis notre dernière rencontre, j'ai bien changé. J'ai réalisé que... Et non. Je ne dirais rien en fait. Tant pis pour vous. Je souris, il y a un intrus. Je lève la tête et observe autour de moi.

" Allez. Sors de ta cachette. "

Ah mon avis, c'est un ennemi puisqu'il n'appartient pas à notre meute. Eh bien, il a eu la malchance de tomber sur moi ce sombre imbécile.

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Tidaro s'etait installer a l'abris du vent, derriere un gros arbre.

Il avait commencer a creer de fins fils de lumieres, ceux ci transparant ,certain ayant des lames, d'autres trés affutert et d'autres etaient de simples fils mais vraiment resistant.Tout les fils etaient relier a ses pattes, si un seul se briser, il saurait quoi! Il commença a les disposer de maniére a creer des pieges mortelles ou pas.Sa besogne fini, il se mit en quéte d'un endroit agreable , a l'abris du vent et non loin de tout les pieges : Ce fut derriere une grosse roche ou l'herbe etait aplatie , tidaro etait content d'avoir trouver cet endroit. Le seul probleme etait cet odeur ecoeurante qui venait l'etouffer , il regarda derrire le rocher et vit une longue riviere , c'etait de cette riviere qu'émanait l'odeur , un loup etait deja là et tidaro n'allait pas aller l'embeter, il s'allongea en essayant de ne pas respirais cette odeur desasreuse, les fils oujour prets et enfin : il sombra dans une sorte de sommeil :Il se reposai mais savai ,entendait et sentai toujour out autour de lui, il pourras se reveillait quand bon lui semblerais. Sur ce, il commença a commater.Il se reveilla quand une nouvelle odeur arriva, il regarda discretement par dessus le rocher, c'etait une louve et l'autre loup etait endormie. Il les regardas un instant jusqu'as ce que la louve lui dise :

" Allez. Sors de ta cachette. "

Tidaro souria et, avec ses fils commença a les placer autour de la louve, ensuite il s'entoura lui meme d'une couche de lumiere pour que, a une autre rencontre, on ne le reconnaisse pas et il monta sur la roche :

Je n'ai jamais dit que je me caché

Il regarda la louve dans els yeux, pret a resserer son piege en cas de besoin.

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Pendant un moment, je crois que je perse le voile et commence à passer de l'autre côté. Un côté sombre, silencieux et surtout très vide. Je ne sais pas ce que représente cet endroit. Il paraît si profond, sans vie et inanimé. Mes yeux ont du mal à rester ouverts complètement. Tout est flou et sombre. Un lourd poids appuie sur mes paupières mais la raison m'échappe. Mon visage est vraiment bien explosé sur le sol frais, au bord de la rivière. Tout ce qui se passe autour de moi m'est indifférent, rien ne compte car je n'arrive à réagir qu'au cours du vent. Seul mes poils blancs bougent. D'un coup, tout devient noir, je sens mon cœur ralentir, ma respiration s'estompe. Je sens que je glisse sur le sol, vers la rivière. Mais avant que je ne tombe, quelque chose m'empoigne au niveau de la nuque. Je ne réagis pas, mon museau se crispe légèrement mais rien de plus. On me traine sur le sol et je sens bien que mon flanc s'imprègne de poussière et de saleté. Quelques secondes s'écoulent, je ne peux pas dire combien car compter semble si compliqué pour moi pour le moment. Je me laisse retomber sur le sol lorsque la prise de la mâchoire de l'animal me délivre. J'ignore de qui il s'agit, je ne renifle pas l'air et reste étalé par-terre, le flanc recouvert de poussière.

J'entends un bruit de fond, comme si quelque chose tombe dans le sang de la rivière. Peut être est-ce l'animal qui m'a retenu tout à l'heure ? Sûrement. Je remue un peu ma truffe noire et renifle l'air. Cette odeur ne m'est pas inconnue. Je mets un instant avant de réagir. Il s'agit de Sixtine. C'est elle qui m'a empêché de tomber. Je m'efforce de sourire un peu. Un léger sourire prend place sur mon visage. Sa douce voix résonne bientôt dans les alentours de la rivière. J'ouvre discrètement mes yeux dorés et regarde autour de moi sans bouger autre chose que mes yeux. Ma vision devient un peu plus nette et je découvre la silhouette de Sixtine puis, un autre loup perché un peu plus en hauteur. Le vent m'apporte l'odeur d'un solitaire. Je veux grogner mais rien de sort. Soudainement, un mauvais pressentiment m'envahit. Le regarde de l'inconnu semble... je ne sais pas. Il semble préparer quelque chose. Je regarde Sixtine, méfiant. Je me lève très rapidement et la pousse pour l'écarter d'un éventuel danger. Je regarde le solitaire, mes yeux encadrés par mes marques noires. Je suis très méfiant vis-à-vis de ce loup. Je retrousse légèrement mes babines en le regardant méchamment.

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Mon regard se noircit et mon ego prit rapidement le dessus. Ce solitaire était bien imprudent. En tout cas, si c'était la bagarre qu'il cherchait, il la trouverait et l'issu en serait incertaine pour lui. On ne s'attaque pas à un chef assassin sans prendre le risque d'y périr. Peut-être n'était-il pas au courant, après tout... Pas grave, une victime de plus égal un salop de moins. Le vent forcit avec force. Des fils un peu bizarre m'entourèrent afin de créer un filet de capture. Alors c'était donc son pouvoir. Enfantin. Je ne peux pas lui en vouloir, après tout quand on née raté on le reste. Sauf si, comme moi, on saisit notre chance et devenons des génies. Le loup grimpa sur la roche en face. Je ris bruyamment sur un ton moqueur et blessant. *On dirait une momie avec touts ces fils* Quel spectacle ridicule. J'aurai honte à sa place. Cependant, mon expérience m'avait appris bien des choses et j'avais une bonne idée en tête pour le supprimer.

Frehley, qui était juste derrière moi, choisit ce moment pour se réveiller. Je lui adressai un regard amical avant de me tourner vers mon adversaire. Je ne pouvait bouger, et cela ne m’inquiétait guère. Si je suis chef, c'est bien pour une raison. Ces stupides fils de consistance lumineuse ne m'empêcherai pas de le tuer. Mon ami me poussa un peu violemment et grogna contre M.Fil. qui pensait gagner la partie. Ah, je crois bien que mon plan allait encore changé, cette fois-ci pas de doute je l'aurai. Mais afin de ne pas le mettre au courant je ne vous expliquerai pas. Ce sera une surprise. Pour le moment la première étape consistait à demander à Frehley d'utiliser son pouvoir. Bien sur je serrai un peu immunisé car à ce moment là je créai une faille spatio-temporelle afin d'essayer d’atterrir dans le futur. J'adressai un sourire qui avait du lui faire comprendre ce qu'il devait faire. Mais au risque, lui dis quand même à voix haute. Puis je m'adressai directement à l’intrus.

" Qui es-tu pour te montrer aussi insolent avec deux loups aux gradés vermine ? Quoiqu'il en soit, tu vas vite le regretter mon vieux... "

Mon vrai moi, la gentille Sixtine, se battait pour reprendre le contrôle mais l'ego était puissant...

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Tidaro souria , la moment etait venu d'immobiliser les deux ennemies :

Je ne suis qu'un vagabond errant sans but.

Il 'soccupa du male, le plus imposant : Il l'enroula entre les fils, lui lia les pattes ,lui ferma la guele pour l'empecher de trancher les fils avec ses croc car , bien que trés , trés resistant, il etait tout a fait possible que ceux ci se brisent.

Pour la louve, il montra son poignet en incliné et une longue lame de lumiere en sortie, idaro visa la patte de la louve et parvint a y planter la lame, mais maintenant, il tituba tout en restant droit :

Il n'avait presque plus d'energie :

Je ne cherche pas a me battre, juste un endroit ou dormir paisiblement.

Il avait soif tout un coup, soif et faim! Evidamment ,il ne mangerais pas les deux loup , il ne leur ferait du mal que le moin possible.

Il detacha ses lames e son corp et suspendit les fils a une branche :

Comme je vous l'est dit, je ne tient pas a me battre, donc, je vous dit aurevoir

Sur ce, il s'enfuit!

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Je continue de fixer ce loup vagabond, comme il le dit si bien. Mes yeux dorés sont si hostiles et méchants qu'ils semblent le cisailler. Dommage que ce ne soit qu'une simple métaphore. Ce que j'aimerai pouvoir le cisailler en deux. Ensuite, le découper en plein de petits morceaux et brûler les morceaux restants. C'est sadique je le sais mais ce loup m'insupporte alors que je ne lui ai même pas adresser la parole. Je lui grogne légèrement dessus en dressant un peu ma queue et en hérissant mon poil. Je prends donc une position de défense ou alors d'attaque, tout dépend de l'attitude du loup solitaire.

Soudain, je remarque autour de moi, des espèces de fils un peu particuliers. Sixtine s'adresse au loup inconnu. Je regarde alors ce dernier et comprends que c'est de sa faute si de pareils filages sont ainsi venus jusqu'à nous. Je gronde de plus en plus fort sur l'inconnu. Mais alors que je m'apprête à lui sauter dessus, le piège formé de fils se referme.

Je suis alors pris au piège comme un vulgaire gibier prêt à être égorger. Je suis ficelé de part et d'autre. Je ne peux plus bouger mes pattes et ma gueule est condamnée à rester fermée. Je gronde même si mes grognements ne restent qu'au fond de ma gorge. Un bruit violent retentit près de moi. Je tourne la tête en direction de... Sixtine ! L'affolement s'empare de moi. Comment peut-il oser ?! Il a disparu de son rocher le lâche ! Je commence à gigoter pour tenter de me libérer et pour alors sauver Sixtine. Une lame lumineuse est plantée dans sa douce patte. Je ne cesse de remuer pour me dégager. J'arrive après de nombreux efforts, à ouvrir un peu ma gueule. Ne pouvant pas atteindre les fils, j'utilise mon pouvoir. L'ouverture de mon museau n'est pas très importante donc le bruit qui en sort est plutôt un ultra son très violent. J'entends un bruit, quelques fils semblent se fragiliser. Soudain, ceux qui retiennent mes pattes ainsi que mon corps cèdent. Je me retrouve à pendre par le museau. Je gronde de plus en plus. Puis, les derniers fils lumineux qui me retiennent finissent par céder sous l'effet de mon poids. Je tombe par-terre mais je me relève rapidement et accours vers Sixtine. Sa patte saigne. Je saisis la lame entre mes crocs et tire pour la lui retirer. Elle finit par sortir et je la lâche pour aider Sixtine à rester debout. Je lui lèche doucement la joue et lui demande d'un ton inquiet.

- Ça va aller ? Dis-moi que ça ira je t'en prie.

Je la regarde et lèche sa plaie pour ralentir la coulée du sang.

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Mes membres commençaient à s'engourdir. Le fait d'être immobile est certes désagréable, mais pour le bon fonctionnement de mon plan je ne devais montrer aucune résistance. Le solitaire sourit et répondit. Un vagabond ? Vraiment... Bien. Je m'en tiendrai à ça. C'est vrai qu'un nom m'aurait plut mais apparemment ce mâle ne révéler aucune information. Bof, raison de plus pour le tuer. Mon ego s'impatientait. Une lame traversa le ciel et s’enfonça dans ma patte. J'eus un petit rictus de douleur mais s'en plus. Cette andouille avait loupé les zones sensibles ! Je ne tenais pas à lui faire remarquer et me contentai de regarder le sang qui coulait en souriant. M. Fil tituba et se contenta de dire qu'il ne nous voulait aucun mal. Je grognai très fort, pourquoi avait-il attaqué alors ?! Il mérite de périr ! Frehley faisait de même. L'inconnu l'avait pris au piège également et lui avait fermé la gueule.

Mon sang... Gâché par l'envie de montrer sa supériorité. Franchement, je le choppe, il est mort. C'était devenu une affaire personnel, une... Proie. Mon ami se dégagea en utilisant son pouvoir. Je restais tétaniser de colère, et attendis qu'il me libère. Les fils se balançaient du haut de la branche. Frehley me retire la lame de la plaie rougeâtre. Il faudra que je pense à lui dire merci... Puis il me lèche la joue en me demandant comment ça va avant de lécher la patte. Je lui offre un sourire rassurant et lève la patte afin de l'observer intensément. Je vais souffrir durant quelques jours... Et à mon avis, avec ce temps, je risque l'infection. Hm... Ce n'est pas si grave finalement. Mon regard devint dur et sans-pitié. Je vois encore cet intrus emmitouflé dans ses fils.

" Merci. Je vais le rattraper et lui donner une bonne leçon crois-moi... "

Je commençai ma course folle qui avait comme but de retrouver M. Fil.

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Tidaro courais aussi vite que ses pattes le lui permettaient !

Il vit un grans arbre , sautant sur une pierre puis s'accrochant a une branche, puis une autre...

Il arriva en haut. Il etait a l 'abris, a travers les feuilles touffus , on ne le voyait pas.

Il ferma les yeux et se concentra ,pour se retablir, pour tenter de recuperer l'energie inutilement gacher!

Il souffrrait, cette odeur de sang lui revenait encore dans les narines, cette odeur ecoeurante...

Il ouvrit les yeux et regarda autour de lui :

La vue etait magnifique, on y voyait a des lieues a la ronde , la riviere aussi, on la voyait!

Bien que al situation soit un peu plus critique que ça, Tidaro aimait ce spectacle qui s'offrait a ses yeux.
Il tenta de s'installer plus ou moin confortablement ,et s'endormie.

Invité

Elle me sourit et semble aller bien. Le sang a cessé de couler à flot. La plaie est plus calme, une belle cicatrice ornera bientôt le patte blanche de la douce Sixtine. Mais, cette douce Sixtine semble être devenue si dure et froide. Je comprends bien que ce solitaire imprudent et imbécile ait pu provoqué un tel état de colère mais... je ne sais pas, elle semble différente de la louve que j'ai rencontré dans le bois maudit. Avec laquelle j'ai bravé le mauvais temps, que j'ai chassé et que je me suis nourri par la suite. Cette gentille et douce louve qui dormait tendrement contre moi. Sa chaleur corporelle me réchauffait dans cette grotte sombre et froide. Mais j'avais aussi, à cet instants où elle se reposait contre moi, de vouloir, non de devoir la protéger de tous les dangers qui peuvent se présenter. Cette louve semble s'être, comment dire... éteinte. Dans ses yeux, je ne reconnais plus cette louve.

Enfin bon, la rage de faire payer à ce solitaire ingrat son erreur stupide est très forte. Je m'élance derrière Sixtine, à la poursuite du solitaire. Je slalome entre les arbres qui se présentent à moi. Soudain, la piste du loup s'arrête net. J'ai le réflexe de renifler le sol, au pied des arbres. L'odeur du loup semble grimper dans un des arbres. Sans attendre une minute, j'utilise mon pouvoir et crie d'une manière très violente sur l'arbre. Ce dernier est très violemment secoué et le loup tombe de sa cachette. Il semble qu'il dormait dans son arbre.

- On joue à cache-cache ?

Je souris, mesquinement et méchamment.

[ Désolé, je suis d'une nullité absolue. ]

Invité

{ T'inquiète pas c'est bien Zach ;) }

Ma respiration s’accélérer de plus en plus. L'odeur de ma proie grandissait, manifestement il s'était arrêté. Ce n'est pas bien de baisser sa garde. Je compte bien en tirer profit. Frehley me suivait. Le pauvre ne devait me reconnaître. C'est vrai, mon ego et moi sommes tellement différents. Je sentais que je reprenais de l'emprise sur mes actes. Ma patte flancha et je trébuchai légèrement. On touchait au but. La piste s'arrête d'une traite. Je levai la tête. Le voilà qui dormait tranquillement en hauteur. Non mais franchement, les loups de nos jours. Y en a pas un pour rattraper l'autre disait Nicotine. Et il avait bien raison, il a toujours eut raison. J'esquisse un petit sourire avant de laisser Frehley utiliser son pouvoir. Son cris est si puissant qu'il arracha quelques écorces à l'arbre. Impressionnant en effet. Après tout il n'est pas garde du corps pour rien.

L'intrus tombe lamentablement au sol avec une chute bien honteuse. Alors il fait plus son malin l'autre abruti. Frehley sort une phrase un peu mesquine et sourit. Hm... Je ne ferrai pas avoir deux fois avec son pouvoir, manquerai plus que ça. Je le prend par la peau du coup est l'immobilise du mieux que je peux avec mon poids. Bien entendu les femelles sont bien moins lourds que les mâles, mais je suis quand même assez forte pour combler ce manque. Il a bien l'air ridicule là. Je vais lui faire payer à cet effronté momifié. Ses fils lumineux m'auront bien fait chier. Mon vrai moi reprend, -enfin-, le dessus. Ce que ça fait du bien de se retrouver ! Je frotte mon museau dans le pelage blanc de Frehley, pour le remercier encore et le rassurer que je suis normal.

" Te voilà dans une bien fâcheuse position mon p'tit loup. "

Invité

Tidaro tomba, il fit une chute vertigineuse mais il concentra se chute afin de tomber juste derriere la louve!
Il plaça sa patte un instant sur la bléssure de sa patte et y injecta sa puissance de lumiere car, ne l'oublions pas, le role de la lumiere est de faire disparaitre les ténébres du coeur des gens!

Il recula trés rapidement avant de se prendre un coup et recula entre 4 arbres et se mit a disposer des fils, ceux là aussi ,aussi tranchant que des lames de rasoirs, si un des loups se coupait avec, une drogue se libérerer afin d'endormir le loup qui auras touche le fil.

Laissez moi tranquille!

Il s'allongea devant les loups, proteger par la barriére de fils tranchants et s'endormis a nouveau, il refaisait ses forces.

Il savait que ,la louve arreterais la chasse car tidaro avait appaisais son ame grace a la lumiere qu'il y avait injecter et que, tout personne a une bonne partie d'ame, aussi petite soit elle.

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Je fixe le loup clair solitaire tel un chien de garde qui surveille son territoire. Mon regard est vide, mon poil est hérissé et ma queue est légèrement dressée, en signe de méfiance de supériorité. Je reste figé, à le regarder, ce loup de pacotille. Et puis d'abord, qu'est-ce qu'il foutait sur les terres de l'Est. Ce n'est qu'un solitaire, un vagabond, il n'a rien à faire ici. Les terres Centrales sont là pour accueillir les solitaires ou les bannis, les loups qui n'ont pas ou qui n'ont plus de terres propres. Alors qu'est-ce qu'il vient faire chez nous ?! Je ne retrousse pas mes babines mais reste froid et vide. Soudain, je sens quelque chose qui vient se poser sur moi. Je tourne rapidement la tête et découvre le museau de Sixtine, plongé dans l'épais poil blanc qui forme mon cou. Je ne souris pas mais mes yeux brillent de gentillesse. Je la regarde pendant un long moment gentiment et chaleureusement. J'ai retrouvé cette petite étincelle qu'elle avait dans le regard lors de notre rencontre dans le bois maudit. J'aime beaucoup cette Sixtine-là, l'autre ne me convient guère. Elle est trop froide, arrogante. Elle est trop différente de celle que j'apprécie.

J'ai envie de lui sourire mais soudain, le loup se relève et court vers quatre arbres disposés non loin de nous. Il y dispose des fils lumineux, ça ne semble pas très prudent de les traverser selon moi.

* Il ne sait faire que ça avec son pouvoir ? Des fils ? *

Je me dis cela à moi-même, dans ma tête et le regarde faire. Je lui lance de ma voix grave.

- Si tu souhaites avoir la paix, va-t-en de notre territoire !

Je le regarde en relevant un peu mes babines blanches, dévoilant ainsi mes crocs tranchants.

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La chaleur des poils de Frehley me berce. Je pourrai rester là durant des heures et des heures s'il le fallait. Malheureusement je n'ai que le temps de me retourner que le solitaire m'attrape la patte et y injecte de la lumière. Ca m'arrache un petit cri de surprise et d'horreur. Tout à coup je me sens, vraiment... Bien. Mai pas autant que quand Frehley me parle. Cet instant où il n'y a que lui qui m'importe ou encore me contrôler. Ce sentiment d'appartenir à quelqu'un. Je lui fais confiance. Un peu trop à mon goût d'ailleurs. Bref, je sers les croc et plisses les yeux dès que l'inconnu se retire. Il s'amuse à créer un piège somnolant avec es fils. Je n'aime pas son pouvoir ridicule. Si seulement je n'avais pas cette foutue blessure de merde. M'enfin, Frehley et moi allons lui faire passer l'envie de revenir. J'observe ma patte avec intérêt, elle qui d'habitude est blanche a la teinte rouge du sang. Celui-ci a arrêté de couler. Bonne nouvelle.

Le loup se place entre des arbres, s'allonge dans son piège et nous demande de le laisser tranquille. Non mais oh ? C'est la fête ? Non je ne crois pas. Il va redescendre de son petit nuage l'autre imbécile. J'appelle ça, de la provocation. Ah... Tiens.. J'ai l'idée du siècle ! Enfin, je pense. Et si on tenait un siège ? Comme ça il devrait s'avouer vaincu avant de pouvoir partir. Et comme ça j'aurai le temps de discuter avec Frehley. J'ai plein de choses à lui dire. Commencer par m’excuse de la dernière fois est une priorité. En tout cas ça me faisait plaisir d'avoir une conversation avec lui. Je lui souris. Puis mon regard se tourne vers l'andouille. Il dormait. Pfff... Je m'assoie et dis d'une voix vraiment contrariée.

" On a qu'à faire un siège ? Comme ça... Ca nous laisse le temps de discuter et de nous reposer. Ok ? "

Invité

Tidaro dormi quelques temps et regarda les loups, cela ne valait plus la peine.

Il fit en sorte que les fils lacerents s'attachent autour de lui, il en etait recouvert et saigner un peu.

Il regarda les loups et bailla, s'allongea et attendit de se vider de son sang , il allait en finir vite avec ces 2 cretins incapables de comprendre, il grogna :

laissez moi crever en paix, tirez vous, j'en ai marre de vous voir.

Il s'allongea et attendit paisiblement la mort : il avaitgagner sur tout les plans :

Il souhaitais sa mort, il l'aurais enfin

Si les loups s'enfuyaient en le laissant mourir, il retournerais a son arbre

Si les loups le tuer, ce serait une liberation

C'etait fait : il gagner sur tout les plans.

Invité

Je suis toujours à l’affût, en train de regarde le solitaire qui n'est toujours pas décidé à partir d'ici. Il est vraiment idiot ou bien il en fait exprès ? Les deux possibilités sont facilement envisageables. Les solitaires comme les loups de meutes et comme les bannis peuvent être très têtus et tenaces. Ils ne reculeraient devant rien et ne se soumettront jamais à d'autres loups. Mais ils peuvent tout aussi bien être simple d'esprit et ne comprennent pas le danger qu'ils risquent de courir en provocant les meutes de la sorte. On a beau les mettre en garde, ils ne comprennent jamais ce qu'on peut leur dire. C'est comme si nous parlons à des mûrs. Ou encore, ils ne comprennent tout simplement pas ce qu'on peut leur dire. Mais ce genre d'abruti, je n'en ai jamais croisé jusqu'à maintenant. Mais bon ce solitaire-là semble ne tenir une sacrée couche. Une sacrée couche de crétinerie profonde. Je le regarde s'enrouler dans ses propre fils. On dirait un moucheron dans une toile d'araignée. Je trouve vraiment que ce vagabond est ridicule. Voilà qu'il se met à saigner. Il n'a rien de mieux à faire. Il préfère se foutre en l'air plutôt que d'affronter la réalité. Je m'approche du loup pris dans sa toile de fils lumineux. Je m'arrête juste devant lui et le regarde. J'incline ma tête sur le dos, baisse ma tête pour être à la hauteur de son visage. Je lui dis doucement.

- Je ne te laisserai pas te tuer de la sorte. Je veux en finir moi-même avec toi.

J'utilise mon pouvoir et crie tellement fort que les fils lumineux s'arrachent à leurs bases et envoie le loup à travers les arbres. Je le regarde puis tourne ma tête vers Sixtine.

- Tu veux participer ?

Je la regarde et attends sa réponse.

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