Epona avançait jusqu'a la lisière d'une forêt qu'elle n'avait jamais vue, une légère brise soufflait, faisant onduler les branches au dessus de sa tête. Cet endroit avait l'air calme et accueillant, elle fit un pas sous l'ombre bienfaitrice des arbres, mais quelque chose la retenait, elle scruta les buissons sans rien trouver de particuliers, refoulant son appréhension, elle pénétra dans la forêt touffue. Pas à pas, son environnement la mit à l’aise et elle se prit même en train de regarder des fleurs ave plaisir. Mais peut à peut, sa perception ce transformât, elle perdit un peut d’odorat et fût prise d’une grande fatigue. Son réveil se fit dans le froid, une petite brise soufflait malgré le grand soleil, Epona fut surprise de ne pas l’apprécier. Elle se leva et vit son reflet dans l’eau, elle fut si surprise qu’elle fit un bond en arrière, se rapprochant de nouveau, elle découvrit une toute autre apparence que la sienne, elle bougea une pate dont les coussinets avait disparus et dont les doigts c’étaient allongés. C’était bien elle, avec beaucoup de poils en moins à par sur la tête ou ils étaient légèrement bouclé, châtains, possédant de beaux reflets cuivrés et cascadant dans son dos jusqu'à sa taille. Sa peau était blanche et parsemée de taches brunes. Elle se rendit alors compte qu’elle pouvait se lever. Pas sur 4 pattes. Sur DEUX pattes .? Sans se poser de questions elle se leva. Ses yeux étaient restés les mêmes, grands et bleu… Elle était fine et élancée, et gracieuse ; elle plongea dans l’eau puis se fit sécher sur le bord de l’eau. En se réveillant, elle espérait se lever dans son corps, mais non, il n’y avait qu’un linge morceau de… quelque chose de doux, de fin et blanc, elle se sécha avec cela puis le fit séché. Quand il fut sec, elle se drapa dedans et attacha le tout ave une branche souple autour de la taille, elle se sentait mieux comme ça, moins nu, ça ne valait pas de bons poils mais on fait avec…
Epona avançait silencieusement dans les hautes herbes avant de se ré-engouffré sous la couverture des arbres. Elle contrôlait de mieux en mieux son nouveau corps et se mit à sauter de branches en branches jusqu’ase coucher sur l’une d’elle au dessus du lac ou une autre jeune femme plongeait les pieds dans l’eau. Elle ferma les yeux pendant que des taches de soleil dansaient sur sa peau à cause des feuilles poussées par le vent.