Tu comptes pour moi, j'ai honte de moi [ Pv : Hellie ]

Le printemps commençait à s'installer sur les terres de RW. J'étais allongée dans l'herbe, en train de me reposer. Je voyais des oiseaux défiler au dessus de moi. J'aimerai bien voler un jour, sa doit être très amusant non ? Je laissais un soupire long m'échapper, je continuais de regarder le ciel bleu tout en évitant les rayons du soleil qui me blessais les yeux quand je le regardais. Le champs était doux au touché, son contacte m'apaisais. Mon mentor m'avais dit de ramener une proie pour la meute, mais se n'est pas mon futur grade, alors pourquoi se presser ? De toute façon je n'étais pas du tout doué pour se genre de chasse, vous savez les loups qui court après des tonnes de cerfs et de biches et que à la fin il n'en attrape que un seul. Non, de toute façon tout se que je savais chasser c'était les lapin, sa peut être marrant pour vous, hein ? Un second soupire, un second souffle. Je respirai alors a font, puis que je levais d'une lenteur surpassante. J'étais au beau milieu d'un champs entourée d'une forêt, je crois que sa s'appelle une clairière. Je mis à marcher, un pas devant l'autre si je me souvenais bien. Mon pelage noir était très chaud surement à cause du soleil. J'entrais alors dans une forêt, je dépassais les broussailles tout en gardant bien un oeil derrière moi. C'était un toc chez moi, toujours regarder derrière moi. Par sécurité, du moins. La meute pensait que j'allais leur ramener un cerf ou une biche, mais quand ils vont voir mon ridicule petit lapin, ils vont prendre un malin plaisir à m'engueuler et se moquer. Je posais alors mon museau à terre pour laisser mon flair commençer le travail. Un lapin … Un lapin … Sa se trouve dans des tanières je crois.

J'arpentais la forêt, toujours sur un ritme rapide, sa faisait un moment que je reniflais le sol. J'avais plein de sable dans la truffe se qui me fit éternuer plusieurs fois, pas très bon pour une prédatrice apprentie espionne. Car si on éternue, on ne peut pas être espion, c'est la base de l'espionnage, discrétion et écoute. Je vous ennuis avec mon futur grade ? Oui je sais. Quand enfin mon flair reconnu une piste, mon flair ? Je veux dire, mon cerveau. Car oui c'est le flair qui travail mais c'est aussi le cerveau qui reconnais. Bon aller, sa devient ridicule se que je dis. Je me dirigeais alors vers le terrier du lapin, à oui ! Voilà ! Les loups ont une tanière, les lapins un terriers ! Ha ha, que je suis idiote, c'est désespérant, vous qui lisez, sa doit être encore pire. J'arrivais alors devant un terriers avec trois petites têtes qui me regardaient. Une maman et ses bébés. Oh non j'avais pas du tout mais alors pas du tout envie de les tuers, pauvre maman si elle perd un bébé ! Et pauvres bébés si ils perdent leur maman ! Je suis trop gentille, mais sa me faisait mal au coeur, vous comprenez, mettez vous à ma place. Pa bonheur, je croisais la piste d'un autre lapin, ouf, ceux la resteront sauf. Il ont de la chance que mon mentor ne soit pas la sinon il m'aurait obligée à les tuer. Je pris une grande inspiration et me dirigeais vers cette piste. J'étais tellement concentrée dessus que je ne remarquais même pas que tout avait changée.

Je n'étais plus dans la forêt mais dans une grotte, à présent. Lorsque je relevais la tête, il y avais plein d'escalier qui descendais le long des parois. Il y avait plein de cristal magnifique. Mon coeur fit un saut dans ma poitrine tellement je n'en revenais pas. C'était d'une tel beauté, à couper le souffle. Je pris alors un escalier et commença à descendre. Les cristaux était enfoncée dans les rochers, il brillait de tout leur éclats. J'avais falli lacher un « WOUA » quand toute mon attention se reporta sur des ronflements. Je tournais alors la tête vers un énorme loup blanc qui dormais sur un rocher. Je fis un bond en arrière avant de reculer d'un pas. Le loup avait l'air de bien dormir, mais si c'était un méchant, et qui me bouffais, beh .. A pu Hellie. Mais bon, prenons notre courage à deux pattes ! Je m'approchais alors du loup blanc. Il avait un peu de bave sur la babine, je levais la patte pour le bouger. « Hé ! Héhooo ! Tu bave dans ton sommeil ! » déclarai-je.