Hello World ♫ [Joy.]

Le soleil était haut dans le ciel. Je ne savais pas ou j'étais, pire encore, je ne me situais pas du tout. J'avais beau regarder partout autour de moi, je tombais toujours sur des loups mal aimable. Je soupire, décidément personne ne pouvait m'aider dans ce monde. Je continuais ma marche silencieuse, comme je venais d'arriver, je cherchais un bon endroit pour me faire une petite tanière. On ma toujours dit de faire une tanière quand on vient d'arriver quelque part, parce que après, ou va t'on coucher ? -Bien que je sois un bannie, et ce mot ne me plaisait pas- je restait tout de même normal. Les oiseaux chantait, du moins, ils n'avaient pas arrêtés toutes la journée. Je me dirigeais alors dans une forêt assez somptueuse et feuillus, peu être qu'avec un peu de chance je trouverai une tanière ? Je posais délicatement mon museau sur le sol, et je me mis à renifler. Il y' avait plusieurs odeur, celle d'un renard sur la droite, celle d'un écureuil sur la gauche. Si je poussais un plus plus loin je pouvais sentir l'odeur d'un autre loup. Surement un guerrier de ce territoire. Je soupirai, je n'avais pas intérêt à suivre cette piste ou je risquai gros. Surtout pour un bannie comme moi. Pour tout vous dire, je me sentais vraiment responsable de la mort de mon frère jumeaux. Je sais que je l'avais poussée volontairement, mais je ne savais pas qu'il allait s'écraser contre un rocher. Je ne savais pas et je ne l'avais pas voulu. Mais le passé reste le passé. Je me demande même si je ne ferai pas mieux de m'effacer cela de la mémoire. J'hésite, mais si je fais cela, je vais oublier ma vie d'avant, et je n'ai pas très envie.

J'arrivais vers un arbre dressé sur un petit talus. Il était grand et y'avait de l'espace. Je me dirigeais à pas toujours il silencieux vers l'arbre. Je n'avais déjà pas à construire ma tanière puisque y'en avais déjà une abandonnée. Je rentrais dedans, elle était grande et y avais de l'espace. Maintenant que j'avais mon petit chez moi, je pouvais ressortis afin de chercher quelque chose de bon à manger. J'avais les pattes un peu sales car le sol était très humide, c'est peu être sa qu'on appelle les pluies de printemps ? Dans tout les cas, aujourd'hui il faisait magnifiquement beau. Je reculais et gardais un instant de silence pour bien mémoriser ma nouvelle maison. Je m'en sortais pas mal pour l'instant ? Moi qui a toujours vécu en meute, la vie solitaire ne peut pas être si mal que sa. Une fois cette endroit bien enregistré dans la partis de mon cerveau, je fis demie tour et m'avançais dans des broussailles. J'ignorai qu'elle était la meute dans lequel je me suis fait une tanière, mais sa ne devait surement pas être le Nord, ou je m'aurai fais surement tué. Je continuai d'avancer, puis la forêt disparu laissant place à une immense plage. Le bruit de la mer était doux, sa sentais le sel et le sol était sableux. Un immense sourire vains 'éparpiller sur mes babines, je m'avançais vers l'eau, curieux. Mais lorsque je m'apprêtais à y rentrer, une énorme vague s'abatta sur moi. Je fis un énorme saut en arrière, mais trop tard : J'étais déjà trempé. Je soupirai et m'ébrouai pour faire partir l'eau et les grins de sables dans mon pelage. Je m'éloignais vivement de la mer pour revenir vers la forêt, il y avait des mouettes qui tournoyais autour de la plage.

Je sentais la faim m'envahir, et maintenant que j'étais trempé, ce fut fichu je pense. Mais bon, ne perdons pas espoir ! Je reposais mon museau sur le sol pour trouver une bonne proie. J'avançais sur le sable chaud et humide, je pouvais sentir les grins rentrer dans mes pattes, beurk. J'aimais pas sa, sa géne et sa craque. Je réussis à déboucher une bonne piste, un daim surement. Je la suivais, tout mes sens en alerte. Mes yeux se posais alors sur un magnifique petite daim qui broutais l'herbe. Je me penchais alors dans l'herbe et rampa jusqu'à m'arrêter à une distance respective. Le cervidé ne m'avais pas encore sentis, puis tout en laissant le silence s'installer, je fis un énorme bon, me hissant sur mes deux pattes, pour atterrir sur l'herbivor. Je fis une roulade avec lui puis plantais mes crocs dans son cou. Je le sentis alors ne plus bouger, il devait être surement mort. Je me relevais, j'étais plein de sable, mais ma faim était tellement plu importante que je me mis à manger tout de suite. Le silence régnait une nouvelle fois, seule les bruits mélodieux de la mer venait percer ce silence.