♣ Mission 4 : Prédateur Intempestif.

Les nuages régnait dans la pénombre obscure. Allait t-il pleuvoir ? Bonne question, je n'étais pas miss météo ! Mais je pouvais sentir l'odeur intense de la pluie arriver, s'en était très fort même. Sa faisait un moment que mes supérieur ne m'avais pas donnée de mission, je m'ennuyais ses jours ci, quelque chose de dingue. Je n'attendais qu'une chose : L'arriver d'une bonne mission. Je n'étais qu'une apprentie, mais j'étais la plus forte de ma classe, ils l'avaient même reconnu. Je soupirai, décidément je m'ennuyais beaucoup aujourd'hui. Et Tsiguane qui est avait des humeurs bizarre, en ce moment je vis dans un monde de fou ! Je sortis de ma tanière, j'espérais que le soleil se montrerais, je n'aime pas la pluie, ce n'est pas dans mes cordes à vrai. Même si au plus profond de moi je me demandais d'où pouvais venir cette eau mystérieuse qui descend du ciel. Tout le monde ce le demandais en même temps. Je m'avançais vers le centre de la meute, il n'y avais presque personne, pas un rat, pas un chat. Une idée me vain alors à l'esprit, je pris un grand souffle et me dirigeais vers la grotte des espions. Qui sait ? Peut être auront t-il quelque chose pour m'occuper eux. Je m'avançais alors dans le lieu auquel je connaissais pas coeur, j'y allais tout les jours, quand je rentrais je sentais cette magnifique odeur accueillante et chaleureuse de l'espionnage. Je rentrais alors dans grotte, elle était éclairée et plein de tout petite gadget. Il y avait deux loups, un de couleur brun avec des reflets roux et l'autre au pelage grisée & noir. C'était des espions remarquables, c'était même eux qui m'apprenais les ficelles. Ils étaient plongés dans une discussion sérieuse, d'après se que je pouvais voir. Lorsqu'ils tourna enfin la tête vers moi, je me sentis un peu tracassée, après tout je n'avais rien à faire ici et leurs discussion ne devais pas être pour moi. Je me surpris même à piétiner sur place. Les deux loups me regardait, puis, le plus grand des deux se rapprocha de moi, un sourcil levé.

- Jeune fille ? Demanda le brun, le plus grand.
- Non .. Rien monsieur. Dit-je un peu hésitante.
- Pourquoi ta présence Thalia ? Se rapprocha le loup gris
- Je me demandais si .. Vous aviez quelque chose à me faire faire.
- Quelque chose hein ? Hé bien non, les chefs ne nous ont pas encore accordés de mission.

Un hurlement brisa alors la discussion. Un jeux de regard se fit dans la salle. Je me levais alors, se hurlement ..Oui ! Le hurlement d'un chef Espion, une mission ? Enfin ! J'espère qu'elle me sera accordée du moins. J'avais la respiration coupée, parce que non seulement je connaissais ce hurlement, mais aussi je savais de qui elle venait. D'un grand loup au pelage noir ténébreux, avec de grand yeux orange qui font flipper. Quand il te regarde, tu ne peux pas éviter son regard, c'est quasi-impossible. La tension apparu, dans l'entré de la grotte, le grand espion sombre entra dans un pas rapide et presque brute. Il venu s'assoir dans notre petite ronde. Le grand loup brun s'inclina, soumis. Quand au gris, il ne fit qu'un signe de tête. Et moi ? Rien, je le regardais. Il venu vers moi, détaillant toute sa grandeur, ses yeux orange me tétanisais sur place, j'eus un hoquet de surprise. Je ravalais ma salive, bien difficilement et fut forcée de m'incliner aussi. Les oreilles baisser sur mon crâne je n'attendais qu'une chose : Me relever. Il hocha la tête, et me laissa me relever péniblement. Mon coeur battait si vite qu'il allaist exploser dans ma poitrine. Et sa, je pense qu'il l'avait sentit. Le chef de ses bois venu s'installer à coter de moi, bizarrement j'étais nerveuse, et cela ne m'arrivais jamais. Il prit la parole, d'un voix grave et roque.

- Sur les terres de l'Ouest, du Sud et quelques terres centrales, un prédateur encore inconnu sévit. Tuant tous les proies potentielles sur son passage, provoquant de grands manques de gibier auprès de la Meute de l'Ouest et celle du Sud. Les dominants des deux meutes, après s'être concertés, décident d'envoyer une patrouille réunissant des guerriers et des chasseurs du Sud et de l'Ouest confondu afin d'éradiquer ce prédateur intempestif. Raconta t-il. Bon d'accord, les chasseurs et les guerriers, mais les espion dans tout sa ?

- Nous, Espion, allons participer à cette recherche, nous allons prouver aux meutes que nous sommes pas des incompétent. Soupira t-il. J'hochais la tête, je sentais comme une grande impatience en moi. Attraper un ennemis ! Un forband qui pille les gibiers ! Croyez moi, si dans votre vie vous avez une chance de participer à ce genre de mission, saisissez la. Sur ce, le grand loup noir posa ses yeux halloweenesque sur moi. Je me sentais drôlement petite à coter de lui, je gigotais tel un petit louveteaux, mal à l'aise. Un sourire mesquin s'afficha sur ses babines, dévoilant une rangée de dent bien aiguisés. Et sans même avoir fais attention, je venais juste de voir que j'avais reculé de quelque pas. Cher Thalia, toute mes félicitations, tu est accordée dans cette mission. Dit t-il avant de sortir de la grotte. L'atmosphère redescendit petit à petit, je me sentais un peu mieux, je remarquai même que les deux loups devant moi était en sueur. Tout le monde disait que le chef espion n'était pas méchant, juste impressionnant. Pour ma part, je ne réussirai jamais à passer deux minute avec lui. Les deux loups commençais déjà à organiser la mission. L'équipe sera de trois plus un apprentie. L'apprentie, c'était moi. L'équipe se constituais de moi, du loup brun, du loup gris, et de … ? Ils ne me l'ont pas dit, trop occupée à organiser cette mission. Je soupirai d'ennuis, mais de bonheur à la fois, puis, nous nous sommes mit en route. Le grand loup noir avait dit qu'on devait aller au lac noir retrouver quelque loup de l'Ouest. J'ignore tout de cette meute, mais se que je savais c'est que sur la liste de sadisme, elle passait juste après l'Est. Les deux loup était devant moi, je leur emboitais le pas, puis nous nous sommes installée au lac noir, attendant les recrues.

Un canidé gris et crème dormait paisiblement dans une tanière mais cet instant de tranquillité fut vite finit. Trois lupins de sa meute déboulèrent en parlant haut et fort. Le canidé gris ouvrit ses paupières sur deux yeux bleus glacés. Il scruta le visage de ses camarades de meute pendant quelques instants avant de se redresser en une attitude clairement dominatrice et menaçante. Les trois loups plaquèrent leurs oreilles contre leurs nuques tandis que Rizzen s'approchait d'eux les oreilles pointées en avant et les babines frémissantes. Un grondement rauque lui chatouillait les cordes vocales et les trois visiteurs non désirés décampèrent la queue basse. Le Bêta sourit d'un air carnassier avant d'aller vers le tas de gibier au trot. Le niveau était anormalement bas alors que pour la saison, il devrait être beaucoup plus haut. Il fronça ce qui lui servait de sourcils et gronda. Il était déjà d'une belle mauvaise humeur, mais alors là. Il ne donnait pas cher de ce qui lui servirait de défouloir. Il se détourna du tas de gibier sans rien prendre, autant laisser le peu qu'il y avait pour un autre lupin de sa meute. Il alla voir Pandora, la dominante, pour avoir des informations sur ce qu'il se passait. Sur les terres de l'Ouest, du Sud et quelques terres centrales, un prédateur encore inconnu sévit. Tuant tous les proies potentielles sur son passage, provoquant de grands manques de gibier auprès de la Meute de l'Ouest et celle du Sud. Les dominants des deux meutes, après s'être concertés, décidèrent d'envoyer une patrouille réunissant des guerriers et des chasseurs du Sud et de l'Ouest confondu afin d'éradiquer ce prédateur intempestif. Cela ne lui plaisait pas. Mais de toute façon, il n'était pas là pour donner son avis. Il sortit de la tanière de l'alpha le pelage gonflé. Maintenant, il fallait trouver les loups du Sud.

Il sortit du camp en un trot puissant, rapide, menaçant. Ses yeux bleus brillaient d'énervement et scrutaient le paysage. Décidément, la nature n'était pas très clémente en ce moment avec la Meute de l'Ouest. Un banni qui tuait femelles et loupiots, et maintenant ce fameux prédateur. Il grogna rageusement et vit une pauvre perdrix qui passait par là. Pauvre d'elle... Rizzen sauta dessus en un bond puissant et la tua sans plus de manière, avant de manger la chair du pauvre volatile. Il jeta le maigre squelette contre un arbre et se dirigea vers le Lac Noir pour se rafraîchir. Toujours d'aussi mauvaise humeur, il gronda rageusement en voyant trois espions et une louve - surement une guerrière - en train de les rabrouer et affirmer sa dominance. Si elle voulait faire ça elle aurait très bien pût le faire sur ses terres !

Il s'engagea sur la berge, la queue battant furieusement l'air et haute pour affirmer sa dominance, les oreilles pointées en avant et son regard bleu froid défiant du regard. Il était le Bêta et sur ses terres. Que leurs alpha soient d'accord ou non sur le sujet du prédateur, Rizzen n'accepterait pas qu'on conteste son grade. Ses babines frémissaient. Il regarda avec un mépris à moitié dissimulé les deux espions plaqués au sol. Ridicule. Il porta son attention sur la louve ivoire pleine de boue.

« - Je suis Rizzen, le Bêta de la Meute de l'Ouest. Enchanté. - il n'y pensait pas vraiment mais bon - J'imagine que vous êtes la patrouille envoyée par le Sud. »

Cette odeur était toujours la, je sentais vaguement les douces gouttes de pluie tomber sur le sol et avoir un impacte dès qu'elle atteignais le sol. J'étais impatiente et j'avais tellement hâte que je ne tenais presque plus en place, je sautillais presque ! Les espions à mes cotés laissais échapper un vague sourire sur mon impatience et mon optimiste. Puis, soudainement elle sortit des buissons. Aussi blanche que la neige, l'odeur féminine et douce d'une mère. Une odeur qui me rassurai et à laquelle j'aimais me blottir. Debout, à la démarche gracieuse d'une gazelle, elle se dirigea vers nous. J'étais contente, enfin presque. Elle eu soudainement un air méprisant, transformant alors ses doux traits de maman en rage folle, on pouvait sentir la dureté dans ses traits, et dans son regard. J'étais choquée, comment, mais comment osais t-elle intervenir dans MA mission comme sa ! Elle n'en avait aucun droit. Je sentais alors une profonde décevante dans mon coeur. Elle ne pouvait pas me gâcher mon rêve, non elle ne e pouvait, devenir espion est et sera toujours se que je suis et veux être. Elle n'a pas le droit de gâcher mon avenir. Je laissais un grondement m'échapper, surtout lorsque les deux espions se soumis à elle. Les guérriers sont encore plus bas que les espions, les guérriers de toute façon se ne sont que des cons ! Il se croient tout permis et ne se prenne pas pour des clochards. Je soupirai, ma tête bouillonnais, c'était sa qu'on appelais de l'adrénaline ? Mais y'avais pas de quoi en faire toute une histoire .. Mais quand on traite les espions, c'est quelque chose que je ne supporte pas, venant de quiconque. Je roulais alors des yeux, fusillant ma mère du regard, mes yeux bleus vain se poser dans son regard avec une haine et une dureté improbable. J'ignorai ce qu'elle avait en ce moment, ni pourquoi elle était toujours de mauvaise humeur, mais elle n'avait pas à le remettre sur les autres, on est pas des souffre douleurs, nous, espion !

Je reculais d'un pas, pour bien canaliser la scène. Ma mère se prenais pour dieu avec les deux espions. J'allais intervenir et balancer toute ma colère quand quelque chose m'interpela dans les buissons. Un grand loup roux arriva, ses yeux bleus était assez terrorisant je dois dire. Mais moi je suis Thalia, j'ai peur de rien. J'essayais d'oublier en vain cette petite rage en moi, mais ce fut très difficile. Je retournais alors mon attention sur les deux loups espions qui c'était relevée bien péniblement. J'avais envie de leur claquer dans les dents qu'il était des incapables pour ce soumettre devant une guerrière. Moi je me soumais devant personne, et personne n'essayera de me soumettre. Surement pas une guerrière, car les espions sont meilleurs que les guerriers ! Laissez moi vous expliquez deux ou trois truck. A votre avis, c'est grâce à qui que les guerriers ont des informations bien précise sur tel ou tel ennemis ? C'est grâce à qui si les guerriers ont tel ou tel objet d'un ennemis ? C'est grâce à qui si les guerriers arrête des malfrats ? Oh espions ! Les espions font tout le boulot pour que ses incompétent de gardes arrête les loups, et comment il nous remercie ? En nous crachant à la gueule. Je détestais sa, j'avais une rage pas possible c'était encore pire que si je croisais un Est. Je tentais de me calmer péniblement. Mais je savais que j'allais pas tarder à exploser et le faire remarquer. Il est impossible de me faire taire, je dis bien impossible, que se soit en me touchant ou pas. Et Tsiguane n'a pas intérêt à faire apparaître ma mère parce qu'elle sera de mon coté de toute façon. Même si parfois c'est le seul moyen ou elle peut avoir recours parce qu'elle me trouve dur.

J'étais pas encore en mode adolescente, et pourtant j'entendais souvent des loups se plaindre de mon caractère, et bien je vais vous dire quelque chose, si ils sont pas content ils ont cas passer leur chemin et puis c'est tout. Un autre bruit retentis dans les buissons, je savais qu'on devait faire la paix un moment avec l'Ouest le temps d'avoir régler se petit problème. Ou plutôt, petit problème qui nous volais de la nourriture. Je soupirai mais je fus rassurer quand je vis que c'était une Sud. Alors elle, il me semblais qu'elle était guérisseuse, ou un truc du genre. En tout cas que connaissais son nom, Milady. Pour une fois elle n'avait pas l'air de vouloir chercher un médicament quelconque. Je tournais mon regard sur des buissons qui encore -décidément ils aimaient tous les buissons- bougeait. Encore un loup brun sortit, mais vu l'odeur je devinais assez facilement que c'était encore un Ouest. J'avais remarquée que les deux espions du Sud qui m'avais accompagné était partit, ayant reçu l'ordre de revenir immédiatement au cartier général. Bon, on était plus que trois Sud, moi, Tsiguane, et Milady. Et il n'y avait que deux Ouest, allez savoir pourquoi il n'y en avait pas plus. Mais bon, nous le Sud sommes les meilleus, nous allons trouver facilement. Je soupirai puis reportais mon attention sur Tsiguane, toujours aussi furieuse, puis, soudain, j'éclatais. « Comment ose tu ! Comment ose tu traiter les espions de la sorte ! Les guerriers ne sont pas les rois du monde ! C'est grâce à NOUS si vous avez des loups à Arrêter ! Et de plus je fais se que je veux, c'est mon avenir pas le tient ! Si je veux être la je le serai que tu sois d'accord ou pas ! Puis qu'es ce que ta un ? Depuis un moment tu est détestable à être de mauvaise humeur ! »dit-je d'un ton blessant. Les loups présents n'avaient vraiment pas eu besoin de ma petite scéne, mais qu'on se mêle de mon avenir, sa je dis non. Et je savais que Tsiguane allait répondre et me gronder. Même faire intervenir ma mère, parce qu'elle n'a pas l'air de savoir se défendre toute seule. Je grognais de mécontentement, maintenant debout sur quatre pattes. Bon, certe, j’approuvais l'idée quelle voulais ma sécurité, je trouvais sa même touchant, mais quand même y'a d'autre moyen de le faire.

Une louve noire aux yeux menthes sortit des fougères légèrement surexcitée, une australe. Ils en avaient envoyé combien au juste ? La dominante comptait leur envoyer toute sa meute ou quoi ? En tout cas, si c'était vraiment ce qui semblait se passer, Rizzen en chassera de ses terres. Déjà que l'idée qu'il y ait quelques loups de cette meute sur ses terres le piquait à vif, alors la moitié de la meute n'en parlons même pas. Le loup gris ne put contenir un froncement de museau et ne remarqua qu'après que les deux espions - soumis - étaient partis. Surement la queue entre les pattes d'ailleurs. Son regard bleu glacé à cause de sa mauvaise humeur se braqua sur des buissons qui fourmillèrent. Un loup musclé aux couleurs de l'automne en sorti. Bon encore pour lui ça passait. C'était Arrow si sa mémoire était bonne. Parfois il aidait sa meute.
Le Bêta passa nerveusement sa langue sur les babines et sa truffe. Merde hein, il savait pas quoi faire, n'y avait-il pas d'autre loups ou louves de sa meute ? Il lui semblait que si. Mais bon hein, il n'allait pas les attendre. La chef guerrière blanche du Sud avait une odeur étrange. Il la sentait pourtant au moins une fois par jour quand il passait près d'une nourrice pleine... Ah mais voilà ! Elle était en gestation ? Eh bien, leur meute était encore plus idiote qu'il ne le pensait. La loupiote semblait avoir du caractère. Et à en juger par son maintient elle était en rogne. Très en rogne, sur le point d'exploser même. Un sourire malicieux fleurit discrètement sur les babines du canidé occidental. Cela risquait d'être intéressant.

La loupiote éclata soudainement déballant toute sa colère sur la louve blanche qui semblait être une proche. Ça semblait être une scène de crise familiale, en tout cas le loup gris n'était pas du genre à piquer des crises comme ça en publique. Et heureusement d'ailleurs. La louve blanche était furieuse et en même temps il y avait de quoi... Même si le caractère de cette loupiote lui plaisait bien. Les oreilles plaquées sur la nuque et le regard noir, la Chef Guerrière répondit. Bon c'était pas que c'était ennuyeux mais si en fait. Elles ne pouvaient pas régler ça une autre fois que là maintenant ? Bah... Rizzen haussa un sourcil avec une moue ennuyée, qu'est-ce que c'était long. Il s'assit la tête haute, tandis que la louve blanche lui adressa un hochement de tête distinctif pour un loup de son rang. Trêve de formalité ! Ils ne pouvaient pas commencer ? Le Bêta occidental leva automatiquement les yeux au ciel ne cachant pas le fait que ça l'énervait qu'ils restent ici à rien faire et que ce n'était ni le lieux ni le moment pour faire des scènes de ménage. Le regard bleuté du loup glissa sur la loupiote avec une étincelle d'amusement.

En tout cas il s'ennuyait toujours sec. Il se releva, s'ébroua puis dit d'un ton quelque peu négligent.

« - De toute façon, s'il y a des retardataires ils nous rejoindront. J'compte pas moisir ici, je ne sais pas si c'est votre cas... »

Il gratta la boue d'une patte faisant une piste pour un éventuel retardataire, regarda quelques instants la loupiote qui semblait être une apprentie espionne vue sa crise de colère qu'elle avait fait. Il eut un rictus amusé et s'éloigna d'un bond puissant avant que les autres canidés le remarque. Il était maintenant à l'orée d'un petit sentier et attendit que les autres le rejoigne les oreilles frémissantes.

Pareil. J'suis pour continuer la mission. (: On a cas dire que sous le coup de la colère Thalia est rentrée au camp du sud ?

Fiction ne se montre pas, Arrow on saute son tour... Epona vient de répondre.
Y'a plus Thalia... Donc c'est à toi, au boulot x).