Entre les crocs du tyran [ Libre , priorité pour Thalia ]

Un monde, une vie, un souffle. Le soleil était chaud, il envoyait ses rayons réchauffer les terres de Roaring Wolf. Je foulais le sol, mon regard perdu au loin. Le chaleur était tellement écrasante, que j'avais l'impression qu'on m'avait enfermée dans un fourneau. J'avais la langue qui pendait dans le vide, j'aimais pas trop sa, sa me donnait un air de chien galeux. Moi, je suis pas un chien galeux, juste une petite loupiote qui cherche des réponses dans ce monde de fou. Je laissais apparaître un immense soupire qui résonne en moi. J'avais quittée mon territoire pour trouver un peu de distraction, je m'ennuyais ses quelques jours. Et je savais très bien que la meute se servait de moi que pour une raison : Mon pouvoir. Oui, bien sur, que c'est chouette d'avoir un pouvoir de guérison ! Mais ce n'est pas vous qui fêtes tout le travail, comme par exemple, quand vous êtes encore une enfant et que vous voyez des plaies, des organes et le tout qui ressort, vous n'avez pas tellement envie d'y mettre les pattes. Surtout que je ne peux pas faire sa 24 sur 24 et 7 jour sur 7. Non, comme tout les pouvoirs sa m'épuise.

Une bonne promenade un beau jour de printemps, quoi de meilleur ? Les oiseaux chantait, il faisait beau et je n'avais encore pas croisée de loup séreal killer. On m'avait dit que les loups de l'Est était très méchants, et sans pitiés. Personnellement, il faut voir avant de croire. Ce n'était que des pauvres loups qui se croient les rois du monde. Rien d'autre. Mais je me doutais que ma mentor ne serait pas fière de moi si elle me découvrait ici. Je soupirai de nouveau, comme si je n'avais que sa à faire. Au loin, j’aperçus quelque chose de bizarre, de très .. louche. Des masses d'ombres en tentacules se dirigeais vers moi. Attendez, sa ce n'est pas normal. Je n'était pas seul alors, mince. Oui car, plus je me rapprochais et plus une silhouette grande, noir au yeux jaune vif apparaissait dans mon champs de visions. Vous vous souvenez de tout à l'heure quand j'ai dit loup killer ? Beh voila un exemple.

Je fermais les yeux, une minute, juste une seule minute. Alors maintenant je vais vous parler des différentes grosses brutes auquel on peut avoir à faire. D'abord y'a la catégorie des plus bêtes, ceux qui se croient dieux et qui t'attaque dés qu'il te voie. En suite, les faciles à berner. Tu leur raconte un bobard, et il y croient. Eux, se sont les plus marrants. Bon pour finir, y'a ceux qui trouve tout tes défauts, physique ou mental. Il se moque de toi et puis en rajoute et en rajoute jusqu’à ce que tu sois déprimé. Il sont fort. Fin bon, voila les différentes types de brutes. Si j'en ai oubliés, faite moi sonner ! Je rigole. Je m'était alors arrêtée à mis chemin, laissant une distance respectable entre moi et le loup. Je voyais déjà dans ses yeux qu'il avait faim. Sauf que son encas, c'était moi.

Avez vous déjà vu une énorme brute moche, mais quand je dis moche, la pire des moches ? C'est se que j'avais en face de moi. trois gros tas de kilos sur patte, avec sans cervelle, je présume. J'ai faillis m’arracher un sourire de la babine, mais cela donnerait au dominant de pacotille l'envie de me foncer dedans. Toujours à une distance respectable, je me contentais de le dévisager, pour moi, ce n'étais qu'un gros tas plein de bave qui voulais se faire les dents sur un être sans défense. Bon dieux ! Mais ou est le respect ? N'avait t-il jamais appris que attaquer un louveteau était lâche ? Peu être qu'il l'ignorait, avec le si peux de cervelle qu'il devait avoir. Je me contentais de lever les yeux au ciel. Puis, dans un soupire las, je tournais les yeux vers les fameuses tentacules qui se rapprochaient de moi. Déjà que de vrai tentacules, sa devait être moche, mais alors des tentacules dessinée, ce fut le bouquet. Soudain, une masse d'ombre apparu et le dominant sauta dedans. Il disparu alors de mon champs de vision, inquiète, je tournais la tête à la recherche d'une traces du grand noir, mais rien. lorsque je sentis une présence derrière moi.

J'aurai pu me retourner. Mais quelque chose me disait que cette grosse masse de poils noirs était derrière moi. Alors, à quoi bon se retourner quand on sens la mort derrière sois. Je pris quand même mon courage à deux mains, je sentais la chaleur du soleil se renforcer sur mon pelage. Je me retourna aussi net et sèchement que j'en ai faillis tomber au sol.Puis, je levais les yeux pour contempler les siens, il ne me faisait pas peur. On m'a dit un jour " Ton entêtement te tuera ". Entêter ? Je me demandais pleinement se qu'avait les gens à me dire toujours la même chose. Je reculais alors, pour m'écarter du loup noir. Mais lorsque sa phrase fut balancé, elle raisonna en moi. Je commençais à en avoir marre de ces loups qui se croient les rois du mondes, je sentais la colère me prendre, mes oreilles bourdonnait, mes yeux firent apparaitre une colère instance et insatisfaite. « Toi ! Le gros tas de puces ! »M'énervai-je. j'étais ârtis dans une colère si forte, que plus rien ne pouvait m'arrêter. J'allais sans doute mourir, mais je m'en moquais.

Il fallait que ce dominant de pacotille comprenne qu'il n'était pas le roi, du moins, pas du monde. Car si on le regardait bien, ces terres lui appartenait, et je me trouvais dedans. « Je commence à en avoir assez de ta stupidité ! Tu te crois le roi du monde car ta des cailloux gros comme des ballons entre tes pattes ? Je vais te dire moi, tes tellement stupide que j'hésite entre rire pour me moquer de ta tronche, ou pleurer parce que tu connais rien à la vie. Tes honteux, y'a pas d'autre mot. Donc si tu veux te montrer, va faire ton cadet ailleurs mais pas avec moi ! » grognai-je. Je sentis la colère qui commençais à passer, petit à petit. Franche ? Qu'elle défaut en effet ! Mais quelle qualité stupéfiante.

Cette môme ne perdait rien pour attendre ! Le froid regard azuré d'Heshvan fixait droit devant lui alors que ses pattes musclées l'élançait au petit trot sur les terres orientales. L'Arctique ne se sentait à l'aise sur ce territoire ennemi, mais il devait s'y enfoncer. L'Apprentie de Harmony, une jeune Mentor, s'était soustraite à l'autorité de son éducatrice pour s'octroyer une promenade vers l'Est. Le Chef Mentor de la patrie septentrionale de Roaring Wolf remarqua cette absence assez tardivement, alors que la loupiote avait certainement déjà traversé les frontières entre les deux meutes. Toujours est-il que Heshvan a retrouvé sa trace et s'en rapproche inexorablement. Elle ne perd rien pour attendre. Mais le loup blanc serrait les mâchoires, tandis qu'il marchait le long des bord du Canyon, qu'il avait atteint, observant le fond jalonné, qui parfois grimpait vers les cieux ou au contraire s'enfonçait dans les profondeurs. Heureusement qu'il ne monte pas sur ses grands chevaux pour si peu, il y aurai alors déjà eu des infanticides dans la Meute du Nord.

Cette petiote, quel était son nom déjà ? Celia ? Tania ? Thalia, voilà. Heshvan songea alors à l'arrivé dans le clan de la loupiote. Elle avait paru hagarde, entourée des autres loups. Toujours est-il, qu'après avoir été accepté dans la meute, Heshvan lui attribua pour Mentor la petite Harmony, elle aussi récente recrue septentrionale. Le Chef Mentor préférait attendre quelques mots de son Alpha pour savoir quel apprenti prendre et souhaitait aussi voir si la coyote - car fait très étrange, Harmony est une coyote - avait des difficultés ou non à confier son savoir à un louveteau parfois excité et peu obéissant. L'Arctique soupira. Plus vite il trouvera l'enfant, plus vite il sera parti après tout.

...

Les yeux azurs de Heshvan se levèrent et le lupin se figea soudain. A quelques cent mètres de lui, d'étranges tentacules noires se hissent hors du Canyon. Inspirant brusquement dans un simple accès de surprise, l'Arctique perçut la douce et fine odeur de Thalia. Bien camouflée par celle d'un mâle, musquée et forte. Orientale.
Babines retroussées, Heshvan s'élança. Les muscles noués, le regard sombre, il se mit à galoper, soulevant la poussière avec ses griffes. Ses larges foulées l'amenèrent rapidement au bord du Canyon, sans que le loup du Nord ne puisse stopper son élan. Son bond lui permit pourtant de voir la scène. A travers les mailles noires, l'action passait sous ses yeux. Thalia semblait prisonnière de ces immondes sculptures ténébreuses vivantes. Le loup qui faisait face à la petite louve était immense, bien plus musclé que Heshvan. Noir comme les appendices qu'il semble contrôlé, l'Arctique ne le remarqua et ne le reconnut que grâce à ses yeux jaunes. Orgonax Titanius, tyran de l'Est. Comment Thalia a-t-elle put tomber aussi mal ? Heshvan atterrit dans un grand bruit mou et en soulevant énormément de poussières, le faisant disparaitre aux yeux des autres protagonistes. Son regard pénétrant scrutait les ténèbres. Une brèche. Il lui fallait une brèche.

Son esprit trouva rapidement celui d'Orgonax, ainsi que celui de Thalia. Aucune défense spirituelle, parfait. Soudain, un loup, deux loups, trois loups. Quelqu'un arrivèrent depuis les couloirs ou les cachettes, deux même suivirent le chemin de Heshvan et sautèrent du haut du Canyon. Sept loups en plus du loup blanc finirent par entourer cette masse sombre et commencèrent à aboyer, gronder, hurler. L'Arctique fixait le spectacle. Ces illusions étaient parfaites. Alors qu'il imitait ce que son esprit faisait apparaître aux deux loups, il priait. Que le Tyran croit en cette illusion. Que la petite aussi croit en cette vision, celle de loups blancs, prêts à tout pour la peau du Dominant de l'Est. Que ce dernier soit profondément déstabilisé. Au point de créer ces brèches.

Soyons, amis, soyons fort ! Mon regard ne pouvait pas se détacher de celui u démon. J'étais comme pétrifiée. Je ne pouvais pas bouger. Mon corps refusait de m’obéir, je n'aurais voulu qu'une chose pourtant, partir en courant. Mais ce n'était pas digne de moi, alors mon corps avait parfaitement raison. Je sais, vous allez me dire : Qu'es ce qu'elle raconte encore ? Des choses, des tas de choses. Le grand noir me regardais, je détestais cette affreux sourire sur son visage sournois. Je levais les oreilles, et haletais l'air. Je cherchais l'énergie en moi, pour me défendre. Mais aucun orage en vu, et aucune électricité amplifiait l'air. Je devais donc chercher au fond de moi. Pendant que le grand loup noir s'amusait à me lancer des ombres de tout les cotés, je fermais les yeux. Je sentais toute cette électricités tournoyer dans mon âme. A l'heure qu'il est, le dominant avait déjà frappé. Il m'avait piégée dans une cage d'ombre, au lames puissantes qui pouvait me trancher en deux en une minute. Je sentais mon coeur ce serrer, j'ouvris les yeux, perturbée, je ne voyais que de l'ombre, j'avais du mal à apercevoir le soleil. Je respirais pour pouvoir sentir l'air, une gorgée, deux gorgée, trois gorgée. Puis, le silence. Le diable c'était tue. Parfait pour retenter une nouvelle concentration. Je refermais à nouveau les yeux, faisant le vide en moi. Je cherchais cette énergie, toute cette électricités que je pouvais déceler. Un silence. Deux silence. Trois silence. J'ouvris les yeux, mes yeux devinrent bleus électriques, les deux mêmes, remplaçant le verrons par une couleur égale à égale. Je l'avais trouvée, ma source d'énergie. Le ciel venu bientôt s'obscurcir pour ce remplacer par des nuages gris, l'orage. Des éclairs jaillissais de tout les cotés. Le tonnerre grondait. Je déplaçais alors mon regard vers le loup, je ne savais pas trop qu'elle sentiment il pouvait avoir, mais je me doutais que ce que j'étais en train de faire allais l'amuser plus qu'autre chose.

L'électricité en moi grandissait, plus elle grandissait et plus les volts serait infaillible. Mais ile ne fallait pas que je me concentre trop, sinon je perdrais toute mon énergie et je deviendrais faible. Dans un grognement qui retentit en moi, je lançais des étincelles sur la cage, plus je poussais, plus les étincelles allaient loin. Celles-ci venu alors s'entrechoquer avec l'ombre, créant une explosion. Je baissais les yeux, faisant revenir les étincelles, et, en quelque minute, tout avait disparu. Mes yeux avait repris leur couleur normal : Un oeil bleu, un oeil gris. La cage d'ombre avait disparu, les nuages qui menaçaient le ciel avait fait de même. Le soleil resplendissait, continuant d'envoyer des rayons comme si rien ne c'était passée. J'étais essoufflée, c'était la première fois de ma vie que j'avais utilisée mon pouvoir contre quelque chose, c'était en quelque sorte, mon premier combat. Mon coeur était rapide, si rapide que je faillis déglutir. Je tremblais un peu, mais pas de peur, plus d'essoufflement. Je levais de nouveau les yeux du loup, et, comme si il ne représentais plus de danger, je me mis à la rejoindre d'un pas nonchalant. Je réussis à incliner un sourire de victoire. Je défiais presque son regard, je ne le baissais pas, au contraire, j'insistais. Quand, soudain, un loup, deux loups, trois loups quatre loups. Je secouais la tête comme pour me chasser cette image. Il y avait des tonnes de loups autour de nous. Je reconnaissais ce physique. C'était eu .. Comment il s'appelait déjà ? Wuan ? Huan ? Je me souvenais jamais très bien de son nom, peu être parce que je n'en avait pas très envie ? Je grognais, mécontente. Comment pouvait t-il s'interposer dans mon combat ! MON combat ! Toute façon, il pouvait pas ce débarrasser du dominant, moi et moi seul le pouvait, je le devais. « Oh ! Wuan ! Dégage ! C'est mon Combat ! C'est à moi de le tuer ! Pas toi ! Moi et moi seule ! Ouste la marmaille ! » grognai-je, mécontente.

Thalia jouait vraiment avec le feu. Ou plutôt avec l'électricité. Le pouvoir de la petite louve se chargea dans le ciel, amoncelant les nuages gris. Quelques unes de ses illusions de figèrent et observèrent le ciel pour que la vision soit plutôt bonne. Heshvan lui, ne cessait de scruter les Ténèbres. Par moment, les tentacules laissaient apercevoir le combat. La cage qui retenait Thalia semblait s'évaporer alors que le soleil reprenait ses droits dans le ciel. Quelle imprudente ! Si elle réussit ne serais-ce qu'à faire grimacer Orgonax Titanius de douleur, ce serait un exploit. Elle semble si sûre de provoquer de graves blessure chez le Dominant de l'Est, même peut-être de le tuer. Tellement sûre qu'elle insulta presque le Chef Mentor venu à son aide. En écorchant son nom en plus. Il avait bien sous-estimé cette gamine décidément.

Orgonax expulsa la loupiote plus loin. Il semblait avoir remarqué les loups arctiques qui l'entourait, mais fixait en direction de Heshvan. L'ombre du tyran se dressa soudain, écarta les appendices d'encre et fonça sur Heshvan. La supercherie a été découverte mais la brèche est là ! Un loup proche de l'Arctique bondit et se prit l'ombre de plein fouet. Il se désintégra. Soudain, toutes les illusions se volatilisèrent, Heshvan bondit alors sur le côté et d'une poussée puissante de l'arrière main, pénétra dans la brèche. En dérapant, il atterrit entre Thalia qui ne se releva pas et le dangereux loup noir. Ce scélérat l'aurait-il blessé ? Tué même ? Les yeux jaunes de ce dernier semblaient comme deux faisceaux lumineux assassins et avides de spectacle. Un frisson secoue l'échine de Heshvan, qui les babines retroussées, hérissa le pelage et banda les muscles, prêt à bondir. Pas une parole, mais des gestes qui parlent d'eux même.

Touche-là de nouveau et tu goûteras de mes crocs.

Je regardais le dominant dans les yeux. Quelque chose que personne aurait osé faire. Mais je voyais dans ses yeux la fureur de mon acte. Une légère brise douce vain me caresser la joue, je sentis un frisson me parcourir la colonne vertébral. Mais lorsque je m'y attendais le moins, le tyran – Je détestais l'appeler comme sa- Me mit un coup de pattes en pleines figure, je fut projetée du sol pour aller m'étaler plus loin, dans le sol sec et chaud. La première chose que j'aurai du faire, c'était activer mon bouclier, il aurait reçu un choc électrique en me touchant. Je sentis une douleurs intense me prendre dans la patte, était t-elle cassée ? Je ne serais dire, je ne suis pas un médecin, mais il me semblait que je n'arrivais pas à la bouger. Je dis bien il me semblait, car je suis à moitier dans les vappes. Je sentais ma tête faire des brouhahaha horrible, mais elle me faisait mal en même temps. Tous se que je voyais dans mon champs de vision, c'était des étoiles. Nan, sans rire, des étoiles ? Tous se que je savais c'était que j'étais au sol en train de broyer du noir, puis, la vision me revint. Au début, tous se que je voyais était flou, mais elle c'est avérée revenir de plus en plus net. Lorsque j'ouvris les yeux pour de bon, je voyais que le ciel, bleu, d'un bleu océan sans aucun nuage. Je me bascula alors sur le coter, pour apercevoir un loup blanc devant moi, j'étais encore trop sonnée pour me rappeler de quoi que se soit, mais je savais que c'était Heshvan. J'entrepris de me lever, la patte me piquant, elle partit sur une énorme douleurs qui résonna dans mes membres. Je fermais les yeux quelque minute et serrais mes dents, sa faisait mal. Je sentais alors quelque chose me couler sur mes babines. Du sang. Cette imbécile de gros tas de puces m'avais coupée la lèvre. Je me déplaçais, une patte devant l'autre – Si je me rappelais bien-. Je titubais, mais sans plus, je voulais pas donner la satisfaction à ce tocard de savourer une victoire.

Je tournais le regard vers Heshvan. Quelque chose me disait que j'allais mourir en rentrant. - Façon de parler cela dit-. Je voyais que ma remarque n'avais pas fonctionné, cool. Je roulais des yeux pour en suite aller toiser le regard du grand noir. J'ai tressaillis, il étai vraiment pas beau, ses yeux jaunes vifs. Je soupirai en fermant les yeux, je n'avais jamais pris une tel raclée dans ma vie, donc je peux vous dire que sa fait un sacré choque la première fois. Je sentais le regard du noir se centrer sur moi. Il me voulait. Oh oui, sa se voyait. C'est bien chouette tout sa, tous se que j'avais réussis à gagner dans cette rencontre, c'était la colère de ce gros tas de puces. J'avais qu'une envie, c'était de l'écraser, le tuer, le torturer, le décapiter, le couper, le poignarder, l'envelopper, l'électrocuter, l'enterrer... Et j'en passe ! J'aurais voulu agir, mais maintenant que Huan me barrait la route, je ne pouvait rien faire sans l'atteindre lui aussi. J'aurai pu très bien faire une onde de choc dans le sol, mais sa aurait touché tout le monde. Mon regard balayais des yeux le paysages, ne vous inquiétez pas, je ne fais pas sa pour m'amuser, juste pour trouver une idée. Puis un rocher en déséquilibre menaçais de s'écrouler, il n'était pas loin du dominant, si j'arrivais à le faire tomber sur lui .. Oui, c'est possible, mais après la raclé que ma mis ce tocard, je doute que mes pouvoirs soient assez fort. Pas grave, il fallait que j'essaye. Je profitais alors que notre invité soit occupé avec le tyran pour rester derrière lui. Je regardais alors le rocher, je me concentrais dessus, je cherchais l'énergie dans mon âme, je fermais les yeux. Je sentais quelque chose de virevoltant, de vif, de rapide et d'éclair en moi. Il ne m'avait pas quittée. Je levais alors le regard vers le rocher, les deux yeux bleu électrique. Je savais que le rocher était pas assez grand pour qu'il écrase le dominant, mais si il pouvait juste lui faire mal au dos. Je toisais le rocher, puis, la foudre jaillis transperçant le rocher en milles morceaux. Ses milles morceaux vinrent tous tomber sur le dominant. Je pensais que sa allait bouger le rocher, mais sa n'avait fait que le transpercer, du coup au lieux de ce prendre un gros truck dans la tête, une pluie de cailloux tombait sur lui. Je me mis bêtement à rire. « Hé toc !» riait-je.

Aux paroles du Tyran de l'Est, Heshvan ne put retire un froncement de museau; c'est nouveau cela. L'Est enlève des louveteaux à présent ? De toute manière, il faut s'attendre à tout de ces félons. Toujours est-il que Heshvan n'allait pas laisser tomber. Sa détermination était plus que visible dans son regard azuré qui défiait celui limpide d'or d'Orgonax. En position d'attaque, l'Arctique attendait. Lorsqu'il vit le harpon d'ombre, il enfonça ses griffes dans le sable. Que peut son pouvoir d'illusion sur ça ? L'arme se lança mais s'arrêta soudain. Le Dominant oriental venait de recevoir une pluie de caillou sur la tête. Le rire triomphant de Thalia tourna toute l'attention sur elle. Sa provocation la perdra.

Soudain, le harpon repartit... Droit sur la loupiote. Heshvan écarquilla les yeux. Thalia ne doit plus avoir assez de force pour stopper ou dévier l'arme. Mais Orgonax osera-t-il poursuivre sa macabre tâche, sachant qu'il souhaite de la petite louve dans ses rangs ? L'Arctique réagit soudain. En deux poussés, il se retrouva sur Orgonax Titanius. Dans un puissant grondement, il prit appuie sur ses postérieurs. Alors que les griffes du Chef Mentor s'enfoncèrent dans les épaules du Tyran, ses crocs cherchèrent à atteindre la nuque du loup noir. Il devra forcément se rebiffer. Perdre concentration sur le harpon. Laisser tomber Thalia ne serais-ce que le temps qu'elle s'esquive. C'est ça l'instinct.

Je n'allais pas rire longtemps, j'avais subitement la mauvaise impression que quelque chose allait se passer. Était ce vraiment un impression ou alors je me faisais des idées ? J'étais toujours la, plantée par terre. J'étais pas à bout de force non plus, mais l'ombre est difficile à combattre je dois dire. Surtout que celons les loups, on se trouve devant une légende, le seigneur Orgonax. Tss, baliverne et foutaise ! Ce n'est qu'un loup au grade haut élevé, ainsi qu'un pouvoir comme nous tous. Pourquoi lui attacher autant d'importance ? Si ce n'étais qu'un loup normal, personne ne serait après lui. Je lançais mon regard sur les cailloux au sol, ils avaient fait leur effet, ils avaient empêché ce gros balourd de Orgonax de tuer Heshvan. A non ! Mon dieu, je me souviens de son nom. Cela voulais dire que je l'aimais bien ? Pas possible ! J'aime personne moi ! Je suis antisocial et méfiante. Je secouais ma tête, encore ravagée par des brouhahas. Je sentais mon sang battre dans mes tempes, il n'y était pas allé de mains morte, le coco en me faisant valdinguer au sol. Il dirigea alors son regard sinistre sur moi. Je me sentais comme observée par l'enfer elle même. Je peu vous dire que c'est flippant. Puis, il avait prit une décision. Une idée, plutôt car au début, ce fichu harpon aurait du atterrir dans la tête de Hesh'. Mais quelque chose me disait que la mauvaise impression que j'avais allais se passer tout de suite. Le loup noir reprit ses esprits, et dirigea le harpon sur .. moi.

Ha ! Il voulait jouer ? Je comprenais pas, il me veut, il veut pas mort, il veut me capturer, puis il veut m'achever. Aller comprendre. Je me mis alors en boule, la tête rentrée dans mes pattes, comme les chats. Je pensais que Hesvan allait se mettre entre moi le harpon, se qui ma obligée à regarder. Mais lorsque mon regard se posa devant moi, Hesh' était sur le gros noir, en train de le mordre de partout quand à moi .. Une énorme lance se dirigeais vers moi. C'est alors que l'impossible se passa. Au moment ou je rentrais ma tête dans mes pattes, roulée en boule, le harpon a ricoché, et a explosé. Lorsque qu'il aurait du me toucher, un bouclier électrique que je ne connaissais pas encore l'existence a prit une forme ronde au dessus de moi et a empêché l'arme de me tuer. Je relevais la tête, avec une énorme surprise sur mon visage, je tournais la tête vers la place ou l'objet c'était désintégré plutôt. Déjà, je me sentais perdu, une vague de question et de stupeur circulais en moi. Comment ? Telle étais la question. Le bouclier c'était peur être mit en route à cause de ma peur ? Je ne serais décrire tout cela, c'était comme une énigme sans réponse. Alors, je me levais, la patte me faisant une forte douleur, mais j'étais plus concentrée sur La bagarre que sur ma blessure.

La fureur d'Orgonax était sans nom. Dans un effort presque désespéré, Heshvan enfonça davantage ses griffes dans les épaules du Dominant de l'Est pour l'inciter plus vite à stopper son attaque. Un grand bruit fort étrange retentit alors. D'un très vague regard par-dessus son épaule, l'Arctique vit la petite Thalia, intacte, mais en état de choc. Elle est sauve, c'est déjà cela. Légèrement déconcentré et déséquilibré, le Chef Mentor du Nord ne put offrir résistance au Tyran de l'Est et ouvrit la gueule dans un hoquet imaginaire, le thorax compressé par le poids non négligeable du Dominant oriental. Mais ce dernier se releva vite, libérer des griffes de Heshvan, ce dernier ayant perdu prise sur les massives épaules du loup noir. Alors que le loup arctique se relevait et s'ébrouait brièvement, Orgonax Titanius pris de la hauteur. Heshvan leva les yeux sur son adversaire, les crocs toujours apparents, les griffes couvertes d'un filet d'hémoglobine. Les épaules du loup noir se couvrait de gouttes vermeilles tandis qu'il levait la voix.

Alors qu'Orgonax se tut, les appendices d'ombre s'étendirent au-dessus d'Heshvan qui, tournant sur lui-même, regardait le spectacle macabre qui s'installait, impuissant. Soudain, l'Arctique se figea face au Dominant de l'Est, un silence pesant faisait place. Alors que rien de bougeait, un pic d'ombre s'étira brusquement et se ficha dans le sable juste devant les pattes de Heshvan qui fit un bond de surprise. De nouveau, tout s'immobilisa. Mais les tentacules d'ombres déployèrent de nouveaux pics, obligeant Heshvan à bondir dans tous les sens. Quelques grognements lui échappait lorsque un pieu lui arrachait des touffes de poils immaculés et lui ouvrait ce qui fera plus tard une petit cicatrice caché sous l'épais pelage. Que pouvait-il faire ? Soudain, l'Arctique se figea, les pattes légèrement tremblantes à force de bondir comme un cabri, le coeur battant à tout rompre, le poil collant par endroit, haletant. Il ne pouvait plus bouger. Du coin de l'oeil, il regarda le Dominant de l'Est. Et un appendice qui semblait d'affiner, se trancher. Devant lui, Thalia n'avait bougée d'un pouce. Il ne pouvait laisser tout cela se finir maintenant. Faire diversion ? L'Arctique baissa les yeux et leva à son tour la voix.

« C'est votre nouveau jeu, à l'Est ? Enlever les jeunes loups prometteurs des autres meutes ? Tout est décidément bon pour la course au pouvoir, même les âmes les plus innocentes. » Ce n'est pas du tout le genre de Heshvan d'entretenir des mots pareils, aussi inutiles soit-il. Mais il devait sauver sa peau. Peut-être laisser le temps à Thalia de rassembler de l'énergie ou de se sauver. Car en l'instant, aussi douloureux et honteux soit-il, le froid Heshvan ne pouvait rien faire.
Rien du tout.

Innocentes ? Attendez une minute ! Il parle de moi la, Hesh' ? Il croit que je suis une âme innocentes ? A mais il voit très mal, le cher amis ! Moi, franchement innocentes ? J'en ris encore ! Je passe la plus part de mon temps à gueuler plutôt qu'autre chose. J'étais toujours debout, un flamme dans les yeux, une lueur comme quoi rien n'était perdu. Oui mais .. Si le roi des nigots ce mettait à appeler ses amis ? Oui, la je crois que mon chef mentor et moi pourrons nous alarmer .. Mais il n'y avait vraiment que moi qui pouvait combattre Orgonax, le pouvoir de Heshvan ne lui donnait pas la possibilité de ce défendre pour faire mal. En clair, il n'y avait que moi qui se bougeait le popotin pour que ce loup souffre. De toute façon c'est mon combat, pas celui des autres, j'ai commencée, beh, je termine. Je sais, vous allez me dire : Quelle petite orgueilleuse celle la ! Je ne suis pas orgueilleuse ! Je me défend, et je paris que si quelqu'un se glissait dans votre combat, vous ferez de même. J'haletais l'air, toujours chaud, mais avec une pointe de démoniaque. Je levais les yeux vers Orgo, à présent en hauteur, porté par une masse d'ombre dans les airs. Quand à Hesvan, il était bloqué, sautant dans tout les cotés pour éviter les attaques du loup noir mâle. Je le voyais, il était fatigué et n'allais pas tarder à lécher. Je devais l'aider, mais il fallait que je trouve une idée, un plan. Je laissais mes yeux parcourir le vaste domaine qui m'entourait. Un canyon grand comme une mer, un temps doux et chaud sans fraicheur. Le soleil pointait ses rayons en nous étouffants de plus en plus. J'avais l'impression d'avoir une massue qui m'assénait des coups dans la têtes, des coups de chauds. Un peu plus devant moi, ce trouvais l'énorme loup noir, perché à quelque mètres de hauts, ce croyant le big boss. Je laissais divaguer mon esprit, je sentais mon coeur battre dans ma poitrine, j'avais l'impression qu'il me perçais les côtes tellement qu'il galopait dans une lancer forte. Soudain, une idée me venu.

Cela était très dangereux certe, mais je devais en profiter que ce monsieur le roi des bouffons était à quelque mètres de hauts pour essayer, peu être, de le foudroyer. Je n'avais encore jamais fait appel à ce pouvoir, mais je me sentais capable de le faire, non même pas, je me devais de le faire. Je clos mes paupières, pour me concentrer un maximum sur tous se qu'il se passait. Je devais sentir et trouver cette énergie en moi. Dit comme sa, vous devez me prendre pour une folle non ? Pourtant c'est la réalité, si je devais réussir à foudroyer quelqu'un, il fallait bien que je cherche l'électricité en moi, comme nos pouvoirs font partis de nous. Les yeux fermée, j'essayais d'entendre au plus profond de mon être, pour l'instant tous se que j'entendais, c'était l'air qui se frottait à la nature, le rire diabolique du bouffon perché à je ne sais combien de mètres, puis quelque cliquetis qui devais surement venir de quelque cailloux qui s'effondraient. Puis, j'entendis comme des petits étincelles, au fonds de moi, je les sentais. Je rouvris les yeux, sur de moi, d'ailleurs leurs couleurs verrons avaient changés pour prendre une couleurs bleus électriques. Mes yeux devenait bleu électrique que quand j'utilisais mon pouvoir. J'aurais aimée qu'il reste ainsi, pour toujours. Mais malheureusement j'avais les yeux verrons, c'est assez ennuyeux vous comprenez ? Pour les gens qui sont moqueurs et sans scrupules. Je pris une bonne bouffée d'air frais – Se que je faisais de plus en plus, bizarrement- Et me concentrais sur le ciel. Les nuages noirs vinrent remplirent le bleu océan, les éclairs vinrent perler la lumière du jour, le tonnerre, venu gronder dans toute sa splendeur. Je continuais de me concentrer, puis, des étincelles virevoltaient autour de moi – Je vous conseille de pas me toucher si vous voulez pas vous tuez-. Et enfin, j'ordonnais à la foudre de foudroyer cette imbécile. Un éclair chaud et lumineux jaillis et venu se frapper en pleine trajectoire. Le loup noir. Je me suis rendu compte alors que j'avais réussis à provoquer un orage, avec de la pluie car quand j'avais annulée mes pouvoirs, l'orage était toujours la. La pluie faisait alors face et tombais sur nos pelage, blessés, sales. Quand à moi, prise brutalement de fatigue, je m'écroulais au sol. J'avais tellement puisée de pouvoir que je ne sentais plus rien en moi, c'était comme un vide, mes membres refusaient de m'obéir, et j'avais l'impression qu'on appuyais sur mes yeux pour les fermés. Des étincelles et de la fumé s'échappait du grand loup noir.

Depuis sa cage d'ombre, Heshvan se sentait d'une profonde inutilité. Son regard azur était scellé en direction de la petite louve. Elle se concentrait. Soudain, la pluie se profile à l'horizon. L'Arctique leva la truffe et observa les nuages noirs s’amonceler et la pluie déjà s'écouler sur eux. Les pelages se mouillent, le bruit de l'eau tambourinant le sable parvient à toutes les oreilles. Malgré ce bruit de fond assourdissant, Heshvan perçut un cri. En relevant la tête vers le bord du Canyon, il vit une silhouette. Le pelage blanc était collé au corps du nouvel arrivant, que le Chef Mentor reconnut comme étant la nouvelle arrivante. Avant que le mâle n'eut le temps de crier à Tsiguane de fuir le danger, un éclair jaillit d'entre les nimbo-cumulus noirs. Le Dominant de l'Est vient d'être frappé.

Comme tous, Heshvan se figea. Tandis que Thalia perdit patte et tomba à terre, Orgonax Titanius semblait sonné. Le loup blanc s'activa alors. Levant les pattes et avançant avec précaution jusqu'à la cage. L'Arctique aura du mal à aller plus loin. Le mâle se mit soudain à fixer une silhouette qui s'approchait de lui. Et traversait sans le moindre problème la cage d'ombre. La gueule entrouverte sous la surprise, Heshvan se retrouva entouré de trois fantômes. Nouvelle machination du Tyran ? Non, certainement Tsiguane. Orgonax Titanius, lui, envoya des serpent d'ombres. Comme oublieux de ce qui retenait Heshvan, la cage du Dominant se distendu, ce qui permit au loup blanc de s'échapper. Mais maintenant, affronter ces reptiles. Le Chef Mentor discerna sous le rideau de pluie deux masses noirs sur le corps de la petite Thalia. Malheur !

Les crocs prêts à l'usage, Heshvan bondit vers la petite louve, et parvint à attraper l'un des serpent par la nuque. Celui-ci fut éjecté contre les parois du Canyon, mais le dernier, tout en s'enroulant autour de Thalia, levait la tête et menaçait Heshvan de ses crocs empoisonné. Saleté. Levant sa patte et acérant ses griffes, Le Chef Mentor essayait de l'assommer tout en grondant en signe d'avertissement. Il y parvint enfin alors que le serpent s'était ramené contre la paroi du Canyon. L'écartant aussi de la petite louve, celle-ci semblait toujours dans les vapes. Délicatement, Heshvan pris la nuque de l'enfant entre ses mâchoires et se releva, le regard cherchant à travers le rideau d'eau. Il se trouvait sous le Tyran et il devait faire vite.

Tout avais super bien marché. Du moins c'est se que je croyais. Car Heshvan était toujours prit au piège et moi j'étais à moitier morte, façon de parler bien sur. J'étais devenu une proie idéal malgrés moi je savais très bien que se bouffon allait intervenir pour me tuer. Avez vous déjà ressentis la mort ? Ou plutôt, l'avez vous déjà vécu ? Si ma situation devenant temps dangereuse, je crois que c'est se que je suis en train de vivre. La pluie continuait de tomber, tambourinant le sol d'eau. Ont pouvaient entendre des cliquetis n'importe ou. Je levais mon regard, pauvre Heshvan il souffrait à ma place. Je sentis mon coeur faire un bon dans ma poitrine, j'aimais pas être aussi faible. Mon pelage était à présent mouillé. Je savais que l'eau et l'électricité c'était mauvais, très mauvais. Mais j'étais trop fatigué pour faire quoi que se soit. Je regardais la scène, impuissante. Se fichu petit tocard allait me le payer, et très cher. Mais l' atmosphère vain changer. Je sentais comme un froid autour de moi, comme une odeur sombre, une étrange sensation de mort. Dans tout les cas, je vous conseille pas de vivre sa. Cette sensation était si puissante que je sentais mon échine frissonner. Je me racla la gorge bruyamment, déjà que le ciel était sombre à cause de moi, mais maintenant c'était le bouquet. Je me serais presque cru dans un cimetière la nuit pendant un orage. Je soupirais, puis dans mon champs de vision, une tâche blanche apparu. Je ne sais pas si c'était mon cerveau qui me jouait des tours, mais j'aurais vraiment cru que c'était des .. Fantôme. Impossible, vraiment. A mon avis mon pouvoir devais être très dangereux pour me faire croire sa, à moins que c'est mon cerveau qui a été touchée. Mais je fut pas la seule à être surprise, donc ces fantômes sont bien vrai.

Une louve blanche, plutôt grande et svelte, s'approchait accompagnée de deux loups fantôme. Cool, voilà la reine de la mort. Je levais les yeux vers la scènes, plein de fantôme avait apparu. A son odeur, je reconnaissais tout de suite la meute du Sud. Cela me fit un grand soulagement, enfin de l'aide. Heshvan aurait jamais réussis à nous tirer de la. Sans vouloir le blesser bien sur, heureusement qu'il ne pouvait pas entendre mes pensées, imaginé la suite .. Le grand dominant était encore plus en colère qu'avant, je pouvais le lire sur ses traits, il n'était vraiment pas content. A les cotés, deux loups mort sont apparu. J'ai sauté sur mes pattes, debout aussi surprise qu'autre chose. Qu'es ce que vous aurez fait de mieux vous en voyant des mort près de vous ? J'eu même pas le temps de dire ouf qu'une énorme ombre me prit entre sont corps et commençais à m'étouffer. Le loup noir avait fait apparaître un serpent qui me tenait entre mes écaille. J'eu le souffle coupée, je sentais ma respiration s'estomper au fire et à mesure qu'il me serait. Je donnais des coups de crocs, mais j'étais trop jeune pour réussir à blesser qui que se soit. Revenons sur ma remarque de tout à l'heure, Heshvan est un vrai loup combattant, mais aussi casse pied. En effet, il avait réussit à faire disparaître le serpent, mais comme un bébé il me prit entre ses crocs. Ah mon dieu ! Que ja'ime pas qu'on me traite comme une bébé. Un grognement retentit en moi et j'activa mon bouclier qui donna un coup de jus au grand loup blanc. Tombant à terre, je me releva, en gardant ma protection activée, et regardais tout autour de moi. « Hé bien, dit moi ou tu a raison que je te dise ou tu a tord ! » lançais-je au dominant en sifflant entre mes crocs.

La pluie c'était arrêtée de tomber. Laissant alors une douce odeur de mouillée dans l'air. Je sentais ma respiration s'accélérer et mon coeur faire des bons énorme dans ma poitrine. Je crois que pour la première fois de ma vie, j'étais nerveuse. C'est bizarre, car à moi sa m'arrive jamais ce genre de chose vous savez. Mon pelage était tous trempée et il dégoulinait, je fit alors virevolter mon épaisse fourrure pour m'en débarrasser. La louve blanche qui avait fait apparaître des fantômes était à présent dans les vappes. Le temps Heshvan s'occupait du loup noir, je me déplaça vers le corps inerte de la blanche pour essayer de la réveiller. Son épais pelage blanc était trempé et les gouttes d'eaux dégoulinaient. Lorsque quelque chose auquel je m'attendais pas, arriva. Je vais vous expliquez deux trois truck sur ma mère. Déjà c'était une louve formidable qui me criait jamais dessus et qui nous aimait tout les deux, moi et Coba. Quand j'étais partis, à la mort de mon frère, elle était vivante. Belle et bien vivante. Mais se que je venais de voir, m'avais fait perdre tout mes moyen. Dans la noirceur du ciel, elle apparu sous mes yeux, blanche comme jamais. Ses yeux bleu me regardais, je sentais son regard sur moi, il m'apaisais. Mais mon coeur et une grande tristesse atterrit au font de moi, elle était … Non impossible ! Elle ne pouvais pas l'être .. Pourtant quand je l'avais quittée tout allais si bien .. Je secouais la tête, j'étais au bord de l'hystérie, Je ne savais même plus si il fallait que je sois contente, que je crie, ou que je pleure. Drôle de situation non ? Je regardais la louve blanche et reculais sur mes propres pas avant de rentrer dans le chef mentor. Le poil mouillé du loup blanc me fit tressaillir. Je sentais ma respiration aussi forte que d'habitude, j'étais perdu. « Non ! Tu n'est pas morte ! Non ! » Aboyai-je

Pendant ce temps le loup noir gagnait du terrain et commençais à reprendre ses esprits. Mais j'eus pas le temps de dire ou de faire quoi que se soit que ma mère m'attrapa par la gueule et se mit à courir. D'habitude, j'aurai ralée, gueulée, comme quoi je n'aime pas qu'on me prenne dans la gueule. Vous imaginez vous, dans prit entre deux crocs et couvert plein de bave ? Je suis sur que sa ne vous plairez pas ! Enfin bref, elle courrait sur le sol mouillée est plein de boux mélangé à du sable. Je regardais alors le canyon défilé sous mes yeux. Lorsque je tourna la tête derrière moi, le loup noir avait lancé une attaque sur Hesvan et la louve blanche et nous suivais. Je ne voulais pas mourir, je n'étais pas encore prête. Et je ne pouvais pas lancé d'attaque sans toucher ma mère. Parce que quand je me met à attaquer, j'ai de l'électricité qui vole partout autour de moi d'après la description de mon mentor. Mais si ont y réfléchissaient, ma mère était .. morte. Elle ne ressentirait rien de toute façon. Je regardais alors le loup noir au loin lancé dans une poursuite, je déplaçais mon regard vers les nuage et me concentrais dessus. Mon corps fut remplis d'étincelle et les éclair lançais la foudre sur le loup noir. Mais je ratais tout le temps la cible, car comme il courrait il se déplaçais à l'endroit ou je la lançais. Donc soit la foudre atterrissait à coter, sois derrière ect.. . Je n'avais pas encore fait attention mais le paysage avait totalement changé. Il y'a quelque minute ont étaient au milieu de nul part, et la ont se trouvaient dans une forêt remplis de broussailles et d'arbres. Elle coupa alors dans un chemin pour le semer, courant d'avantages sur l'herbe. Je commençais légèrement à avoir le tournis, si ma mère ne s'arrêtait pas dans les secondes à venir, je crois que je vais tout lacher. Comme si elle avait lu dans mes pensées, elle s'arrêta prêt d'une rivière qui faisait des zigzag. Tombant au sol, je me suis mise à respirer, je restais quelque minute allongée pour faire passer tout sa et reprendre mes esprits. Quand je releva la tête, ma mère était toujours la, assise devant moi. L'heure était venu au explication, loup noir dérangé ou pas. Je m'assis alors à mon tour pour la regarder dans les yeux. C'est drôle mais … C'est comme sa. « Explique moi ! Tu n'est pas morte, sa ne se peut pas ! » grognai-je en tapant de la patte. Je lui en voulais bien sur, mais comment lui en vouloir alors que j'étais partis sans prévenir ? Tout était de ma fautes après tout, du moins la bonne partit était celle de mon père. Mon père … je le hais. Il n'a jamais fait attention à mon pauvre frère, il était comme un décor pour lui, sa me révoltais. Qu'il soit mort me révoltait encore plus, Coba avait beaucoup payée à cause de lui et des autres louveteaux. Mon père n'était qu'un être abominable à qui je souhaitais la mort ! Si jamais un jour je le vois, je le tue c'est simple. La colère qui faisait rage en moi. Sa se sentais à mon regard. Je n'étais pas une meurtrière, mais quand on s'en prend au gens que j'aime, je peux devenir très très méchante. Mon père m'avait appris plein de chose sur l'espionnage, je l'était très reconnaissante pour sa, mais pour le reste, rien, nada ! Je respirais un grand coup pour me calmer, je fermais les yeux pour essayer de faire le calme en moi, même si c'était bien mal partis. C'est drôle à dire, mais maintenant j'en voulais beaucoup à la louve blanche de m'avoir montrée ma mère morte. J'aurai préférée la savoir en vie. Avoir une bonne image d'elle vivante, souriante, alors que la tous se que j'avais c'était une image d'elle morte. Pourquoi la faire apparaitre alors que je ne pourrais plus la revoir en suite ?