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| Des vivants et des morts | |
| | Auteur | Message |
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Moartea Moale(ABS)
Messages : 81 Date d'inscription : 08/05/2012
Votre Loup. ♥ Meute.: Est. Mémo.: Rang.: Chef des assassins
| Sujet: Des vivants et des morts Dim 20 Mai - 19:26 | |
| Il faisait jour et pourtant en ses lieux funèbres, il faisait sombre et gris. Peut être est ce dû à l'immense mur entourant le lieu ? Les arbres au large tronc et au feuillage épais qui empêche la lumière de passer. Ou bien ce cimetière lieux de deuil et de tristesse est ainsi pour empêcher toute joie le traverser. Trace d'une ancienne civilité humaine, a présent seul la végétation règne en maitre dans ses lieux. Des immenses plantes grimpantes et autre mauvaise herbe ont recouvert les tombes et énormes caveau. Il faut limite grater l'épaisse coucher de matière végétal sur certain monument pour voir s'il s'agit du marbre ou de la pierre brute. Le cimetière est si vieux qu'en chacune des tombes ne repose que poussière. Les os trouver à droite à gauche sont plus ressent et beaucoup appartienne au monde animal. Il y a bien longtemps qu'un être humain n'est pas venu rendre visite à un disparut. Des monuments si grand qu'on peut les apercevoir a plusieurs mètres hors du cimetière et qui par leurs ombres masque plusieurs tombes. Parmis ses édifices humains, une silhouette blanche contrastant avec son support grisâtre est assis en équilibre sur la tête d'une tombe. Le blanc est si pure par rapport à ce qui l'entoure qu'on croirait un fantôme dans de pareil lieux. L'on ne voit que cette ombre, l'oeil est irrésistiblement attiré par temps de lumière.
Je les entends parler tous ses esprits disparut il y a des centaines d'années et voir plus. Je ne comprends pas ce que chacun dit, ils sont si nombreux ici. Il y a des moments ou il faudrait être sourd pour sa propre santé psychique.
Ses yeux s'ouvrirent et les voix finirent par disparaitre enfin à être mise de côté. Autour d'elle personne d'autre que des pierres tombales plus ou moins imposante. Pourtant, il y a quelque seconde, elle se serait crue dans une foire. Un long soupire fit vibrer ses babines, le silance était chose très rare pour elle. Elle les entend encore parler ses morts mais, leurs sons de voix n'ai plus qu'un murmure telle le bruit d'un vent léger. Son regard si particulier glissèrent sur chaque chose l'entourant, ses griffes se limant sur la surface rugueuse de la pierre. Elle ne pouvait voir au-dessus des murs sur son support, elle chercha des yeux un autre plus grand. De bond en bond elle traversa le cimetière en sautant sans état d'âme sur les monuments. Pour elle une fois mort, une fois devenu un esprit, les choses matériel non plus d'importance. Seul les vivants se raccrochent à ses bâtisses, faux souvenir. Elle escalada sur un énorme tombeau avec un toit plat et suffisamment large pour aligner dans sa largeur cinq loups. La louve blanche s'y allongea, elle ramena sa queue touffue contre ses cuisses. Ses iris bleu se portèrent en bas de son piédestal, hors du cimetière. Un bruit venait de lui arriver aux oreilles. Sans nul doute, elle ne serait plus la seul vivante bientôt.
(HR : L'italique sont ses penser) | |
| | | Libby
Messages : 387 Date d'inscription : 03/03/2012 Age : 26
Votre Loup. ♥ Meute.: Solitaire. Mémo.: Rang.: Soltaire// Guérisseuse
| Sujet: Re: Des vivants et des morts Ven 25 Mai - 21:53 | |
| Une louve grise fendait rapidement les airs, des plantes dans sa gueule. La vitesse faisait onduler ses poils et on entendait à peine le martèlement de ses pas dans la terre molle et meuble qu’offrait le sol de la forêt. Des petits morceaux de mousse et quelques feuilles mortes qui avait réussi à tenir jusqu’en été se soulevait lorsque ses puissantes pattes arrières la propulsait. Les plantes qu’elle tenait dans sa gueule prouvaient son métier : guérisseuse. Un petit oiseau noir et blanc tentait, tant bien que mal, de se cramponner entre ses omoplates. La louve avait déjà oublié le volatile depuis un certain temps. Mais pourquoi cet oiseau qui avait d’habitude la langue si bien pendue se retenait de parler ? C’est vrai que son air angoissé reflétait de la peur. Sans est-ce à cause du choix que venait de faire Gabrielle. Aller au cimetière.
Peu de gens décide de leur plein gré d’entrer dans cet endroit funèbre. Peut-être est-ce à cause du manque de lumière ou bien des cris désespéré ou de colère que poussaient les esprits des morts ? Cela leur donnait la chair de poule rien qu’en y pensant la plupart du temps. Car Gabrielle n’avait pas peur. Simplement, elle considérait les esprits qui n’avaient pas réussi à monter vers le Jardin d’Eden pour leur jugement comme faible. N’y a-t-il pas pire faiblesse que d’effrayer des mortels juste pour une soi-disant vengeance ? Un tel comportement avait toujours mis l’ange gardien qu’elle était en colère. Bien sûr qu’elle n’était pas là pour eux.
Déjà, la forêt qui l’entourait changea de visage. Les arbres paraissaient plus grands, même menaçant. Leur tronc semblait être noir. Le jour avait disparu mais ce n’était rien d’autres que l’épais feuillage des arbres qui empêchait la lumière de passer. La guérisseuse accéléra de plus belle. L’oiseau poussa un petit cri étouffé ce qui arracha un sourire à la louve qui tentait de parler avec son paquet de plantes toujours dans la gueule.
« Alors, froussarde, vaincs ta peur et sors de là ! Tu verras, ce n’est pas si terrible. »
Mais l’oiseau en question se contenta de pousser un autre petit cri. La louve, lasse de se comportement de froussarde, repris son air neutre continuant son petit chemin. C’est vrai que ce lieu était impressionnant… Maintenant, la grise se confondait avec le paysage. Il n’y avait rien d’autres que ses yeux mauves, note de couleur, qui la faisait sortir de ce décors sinistre. Son pelage gris ne se remarquait pas, le son que provoquait sa course n’attirait en rien l’attention car on entendait déjà les hurlements des morts. La louve scrutait de ses beaux yeux violacés les tombes. Celles-ci s’alignaient et beaucoup était déjà des ruines. Pourtant la louve ne perdait pas espoir. Peut-être qu’elle trouverait la tombe qui porte son nom. Celle que son anciens corps doit habiter. Elle ralentit l’allure, et haletante pu se mettre pleinement à ses recherche. Hm… Combien de temps était-elle restée au paradis ? Le temps passe si vite là-haut… La pie pris quand même la peine de relever la tête qui, jusque là, était caché par les poils de la louve.
« Tu… Tu as trouvé ce que tu cherchais ? » Demanda-t-elle d’une voix tremblante.
Gabrielle lui répondit par un sourire et déplaça sa tête de droite à gauche. Elle se retint de lui faire remarquer que cela faisait peu de temps qu’elles étaient ici. Elle souffla un coup pour que la poussière s’en aille du nom de la tombe sur laquelle elle se trouvait. Mais quelque chose la bloqua. Son nom avait-il toujours été Gabrielle ? Quand elle était chez les mortels, ne portaient-elle pas un autre nom ? La louve répondit à ses questions intérieure par un soupire et un haussement d’épaules. Qui ne tente rien, n’a rien. Le nom inscrit était celui d’un homme. Alors elle bondit au pied d’une autre tombe. Celle-ci était imposante, ce n’était autre qu’un caveau.
La louve aurait du continuer son chemin à travers la brume mais son regard vint se poser sur quelque chose. Un truc poilu et blanc qui pendait et qui venait d’en haut. Puis le truc tout poilu –qui n’était autre qu’une queue – remonta. La louve grise, qui savait déjà que c’était un mortel, vivant cette fois, qui se tenait là soupira. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle montera la rejoindre. Au contraire, la louve s’avança vers un autre édifice et dégagea la poussière d’un coup de patte pour en lire le nom inscrit. Encore quelqu’un d’autre. La louve soupira et se coucha sur la roche, déposant les plantes à côté d’elle. Sa course lui avait pris de l’énergie, elle allait en reprendre. Alors, elle posa sa tête sur ses pattes avant. La pie, dérangée fut obligée de sortir de son abri fait de poil et de chair. Elle poussa un piaillement mécontent avant de fixer Gabrielle, ses griffes faisant crisser la roche.
« Mais bouge de là ! J’ai pas envie de moisir ici ! »
La louve bâilla alors qu’un hurlement se fit entendre. La pie, tremblotait mais resta pourtant à la même place. Sa tête balayant les alentours pour ne distinguer que de la brume. Elle prit un air courroucé et s’envola sur la tombe. La louve la suivit du regard, d’un air las.
« Je me repose un peu puis on partira. » déclara-t-elle.
Gabrielle ignorera l'inconnu jusqu’au bout s’il le faut. Mais elle jeta tout de même un regard dédaigneux vers le caveau qui habritait ce mortel.
Dernière édition par Nokomis le Ven 22 Juin - 0:03, édité 1 fois | |
| | | Moartea Moale(ABS)
Messages : 81 Date d'inscription : 08/05/2012
Votre Loup. ♥ Meute.: Est. Mémo.: Rang.: Chef des assassins
| Sujet: Re: Des vivants et des morts Sam 16 Juin - 22:39 | |
| Ses yeux se posèrent sur les endroits ou la voix des morts se faisaient le plus proche. Nul doute qu'elle doit en être encercler. Bon nombre des défunts n'ont pas vue de vivant si proches et encore moins l'un qui peut les entendre. Moartea c'était déjà vue devoir accomplir des missions pour des fantômes mais, la plupart étaient morts depuis longtemps qu'au moins 10 générations étaient passées. Sauf que le temps chez les morts n'existent plus, des secondes sont des minutes, des minutes paraissent des heures. Il lui aurait juste fallu de détacher son âme de son corps pour les voir sauf que c'est une chose dangereuse. Elle ne pouvait laisser son corps à la vue des autres. Surtout qu'un autre arrivait. Une louve avec un oiseau disaient les esprits murmurant à ses oreilles. Une brise de vent vient lui soulever son pelage a moins que ne se soit que les habitants de ce lieu macabre. Très peu d'être vivant se posaient ici. Rien ses lieux se montrait agréable, ni la vue et encore moins les bruits suspect. Les feuillages épais des arbres rendait l'endroit sombre et humide, a chaque pluie l'eau semblait mettre une éternité a s'inflitré dans le sol. Les quelque immenses tombeau faisait d'ombre au plus petite pierre tombale. Le bruit des feuilles et des tombes en train de se faire ronger par le temps pouvait jouer un tour à l'imagination. Le principe simple qu'un cimetière habrite des corps suffit pour faire fuir le commun des mortels.
La louve qui arrive n'en ai pas une. Elle a la forme et l'attitude mais, elle n'en ai pas.
Cette petite voix se détacha nettement du brouhaha général. Une petite intonation fluette de petite lupiotte. Instinctivement Moartea tourna sa tête à sa gauche et posa son regard dans ce qui aurait semblé du vide. Sous sa forme pleine elle ne pouvait voir la lupiotte fantomatique. Le sons de sa voix lui indiquait sa position. La louve blanche inclina sa tête avec un léger sourire. Ainsi donc l'étrangère n'est pas une louve mais, quoi alors ? Elle ne pouvait être morte puisse qu'elle n'aurait pas pu l'entendre. La chef des assassins resta pourtant allonger sur le monument, les yeux fixer à l'endroit ou l'inconnu allait se montrer. Plus les secondes passèrent et plus elle entendait deux voix. Elle différencia la voix de la louve et une autre plus petite et jacassante, l'oiseau surement. Effectivement cette louve devait avoir quelque chose de particulier, car très peu de loup voir même aucun n'accepte la compagnie d'un volatile mise a par dans son estomac. Peu à peu, la louve blanche commençait a apercevoir l'oiseau en question. Ce dernier noir et blanc était une pie et semblait être en plein discutions avec la louve en dessous de lui. Ce n'est pas son pelage qui attira le regard de Moartea mais, plutôt ses yeux violets. A cette distance des yeux bruns ou jaune n'aurait pas été visible. La pie tournoyait autour de la canidée et Moartea aurait été à sa place, cela aurait eu le don de l'agacer et cela aurait finit par un coup de crocs. Les yeux violets croisèrent brièvement les siens. Il ne fallut que quelque seconde pour que cet autre lui échange en regarde dédaigneux. Ceux de Mortea furent froid et implacable, montrant aucun sentiment comme dénudé de sentiment. A présent, la louve sentait bien qu'elle n'avait pas à faire à une louve comme les autres. D'ailleurs même le terme loup ne lui allait pas. Qu'elle que chose faisait qu'elle ne faisait ni partie des vivants ni des morts. Moartea elle-même perdu entre ses deux mondes sentait que ce n'était pas le cas de cette étrangère. Il y avait autre chose, elle ne vient pas d'ici ... mais d'un monde ou seul les êtres comme elles connaissent.Elle fut tentée de faire une expérience pour vérifier une théorie simple. Voit-elle, perçoit-elle et entent-elle les disparut. Elle se redressa sur ses pattes tout en surveillant les mouvements de ce drôle de couple. Elle sauta au sol en évitant d'écraser des restes d'os. Bien sûre elle ne pensa pas vraiment a a se cacher enfin a trouvé une cachette pour son corps, car l'oiseau le trouverait sans doute. Elle voulait juste le mettre dans un endroit discret. Elle contourna plusieurs tombes avant de se glisser sous un buisson si épineux que ce dernier lui lacéra museau et pattes.
Une fois sous ce buisson. Elle se coucha et ferma les yeux. Vue d'extérieur son corps sembla perdre subitement tout maintient. Ses pattes glissèrent et sa tête tomba mollement sur le sol. Tout tonus musculaire ayant quitté son corps. Ce dernier se posa sur le côté pour demeurer inerte. Pas un mouvement de cage thoracique ne vint prouver une quelle qu'on que vie. Ce corps est juste mort pour n'importe qui le trouvant. Invisible pour la quasiment tout les êtres vivant, il y avait poster près de ce corps mort la propriétaire. Cette dernière jeta un regard avant de glisser vers l'endroit ou se trouvait l'étrange louve. Sous cette forme, elle pouvait voir tous les esprits du cimetière.La petite loupiotte qui l'avait prévenu de l'arriver de la louve aux yeux violet vint se présenter à ses côtés. Son sourire enfantin ne pouvait cacher toute la tristesse d'être morte si jeune.
Je suis contente que quelqu'un de vivant peux enfin nous voir
(HR : Parole en blanc se sont celle des fantomes) | |
| | | Libby
Messages : 387 Date d'inscription : 03/03/2012 Age : 26
Votre Loup. ♥ Meute.: Solitaire. Mémo.: Rang.: Soltaire// Guérisseuse
| Sujet: Re: Des vivants et des morts Ven 22 Juin - 0:01 | |
| Gabrielle détourna le regard de celui de l’inconnue. Celui-ci semblait dénué de tous sentiments, la louve grise ne pouvait absolument rien en retirer. Enfin, leur froideur lui prouvait bien une chose, celle-ci ne viendrait pas l’importuner. La louve grise coucha sa tête sur la tombe, son contact froid la faisant grimacer pendant une seconde. Puis elle posa ses antérieures sur ses oreilles qui se plaquèrent contre son fin crâne. Ses idiots d’esprits ne pouvaient-ils pas la fermer cinq minutes ? Un brouhaha général semblait s’être emparer du cimetière qui, jusque là, était resté calme et complètement muet. Cela agaçait l’Australe bien entendu. Mais un léger sourire vint se déposer sur ses lèvres. Elle n’avait pas perdu toutes ses capacités d’ange gardien ! Sinon, elle n’aurait pas pu entendre les morts discuter et s’exclamer toutes sortes de choses.
Cléo restait, quand à elle muette. Pourquoi est-ce que sa compagne de route se couvrait-elle les oreilles ? Mystère, mystère… La pie plissa les yeux et tendit l’oreille. Tout ce qu’elle pouvait entendre c’était quelques hurlements effroyables et le bruissement des feuilles sous la légère brise qui soufflait. Elle pencha la tête tout en regardant Gabrielle. Cette louve serait-elle devenue folle ? Bien-sûr Cléo se doutait que ça n’allait pas toujours bien dans sa tête, mais delà a entendre un bruit inaudible… La pie descendit de son perchoir, la peur lui vrillant toujours le ventre avec autan d’intensité. Elle finit par poser ses deux petits yeux empli de peur sur la-dites Gabrielle.
« Euh… T’es sûre que ça va ? » Lâcha-t-elle.
Gabrielle retira ses antérieures de sa tête pour les poser normalement. Son pauvre petit idiot de volatile était déjà effrayé. Pas besoin de la martyriser plus encore. Elle hocha la tête, tout en dirigeant ses oreilles vers le côté. Une petite voix venait de se faire entendre. Jusque-là, la louve grise n’y avait pas fait attention mais maintenant. Elle réussi à entendre ce qu’elle venait de dire alors que les autres fantômes étaient bien agité et faisaient un boucan infernal.
« Je suis contente que quelqu'un de vivant peux enfin nous voir »
Un air d’incompréhension s’afficha sur son visage. Nous voir ? Que voulait dire cet esprit par-là ? Serait-ce la louve blanche de qui elle ne s’était pas souciée ? Gabrielle ferma un instant les yeux pour se concentrer un maximum. Peut-être parviendrait-elle à les voir ? Elle avait déjà réussi à les entendre… La louve cherchait dans son esprit les souvenirs passé. Ceux dans lesquels elle parlait aux morts. Elle en trouva un où elle distinguait un fantôme blanchâtre, où elle le voyait et l’entendait. Elle se raccrocha à ce souvenir pour pouvoir distinguer a nouveau tous ses morts perdu et oublié. Elle s’était dit qu’elle allait les ignorer, ces incapables. Mais finalement non, ce qu’avait dit ce fantôme avait attisé sa curiosité. | |
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