Winter Blue

Dans le plus profond de l'univers, se cachent des choses étranges que les humains n'ont jamais découvert. Ils estimaient avoir découvert neuf planètes et une lune. Pourtant, l'une des neuf planètes fut très vite oubliée et retirée de la liste pour sa distance. Tout le monde connaissait les huit planètes du système solaire, mais .. Connaissait-il vraiment les planètes telles que Uranus ? La science humaine n'a jamais réussis à y aller pour la simple et bonne raison que les chercheurs ont qualifié cette planète de gazeuse. Ils ont tort, ils n'ont jamais été au bout de leur expérience. Uranus, est la septième planète du système solaire, aussi connue pour ses anneaux. Cette planète habite quatre territoires du nom de l'Ours, le Loup, le Tigre, le Cerf. Pourquoi de tels noms sur une planète ? Tout simplement parce que ces territoires sont habités par des humains capables de se métamorphoser celons leurs territoires. Un exemple ? : si certains habitent dans le territoire du Cerf, ils pourront se métamorphoser en Cerf, pareil pour les trois autres territoires. Sur Uranus, chaque pierre contient une âme des quatre territoires. Si elles sentent une vie proche d'elle, elle rentreront dans l'âme de la personne pour ne faire qu'un avec elle et la personne pourra se transformer. Pourtant, un beau jour, une météorite vint s'écraser dans le territoire du Loup. Celle-ci fit voler en éclats des pierres contenant une âme de Loup, et, dans un silence mortel, elles tombèrent dans l'espace se dirigeant droit vers la terre.

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Hellie

New York, la ville de l'amour. Bizarrement, pour moi c'était Paris. Mais personne n'en veut à New York, car New York c'est la ville des célébrités, c'est le coeur du cinéma, tout comme Hollywood. Y'a pas à dire, New York était la ville identique à mon caractère. Je voulais devenir une stars, une actrice, tel que Nicole Kitman, Ian Somerhalder, Nina Dobrev, tous, ils ont réussi une chose : Leurs carrières. Malheureusement je devais retomber de mon petit nuage, j'étais en cours de Math, rien de plus barbant. A coté de moi, le looser du lycée mangeait son crayon. Charmant. J'étais une belle fille, et pourtant on m'avait collé à côté d'une grosse baleine boutonneuse et bigleuse. Heureusement pour moi, le calvaire fut fini. La sonnerie retentit, tout le monde se leva et se dirigea vers la sortie. Je pris mon sac et le mit sur mon épaule, sortant de la classe je n'avais pas remarqué que toute ma classe était déjà partie. Lâcheurs. Il n'y avait que Ashley qui se pressait dans le couloir. Laissez-moi vous apprendre deux ou trois petites choses sur cette fille : Déjà, c'est la plus belle et tout le monde en pince pour elle. Normal, une somptueuse blonde aux yeux bleus, maigrichonne et qui avait été élu 10 fois reine du lycée, si j'avais été un garçon j'en serais toute folle. Pourtant, derrière ce physique que tout le monde aime, se trouve être en fait une vraie petite garce qui fait sa loi accompagnée de deux copines aussi loufoque qu'autre chose. Je me dépêchais d'avancer dans le couloir, je ne pouvais pas rester avec elle, je ne la supportais pas du tout. Le pire c'est qu'elle s'amusait très bien à torturer les autres élève. Je sortais du lycée pour me retrouver à l'extérieur, mes yeux balayaient les voitures du regard. Normalement il devait y avoir mon père, pourquoi je ne le voyais pas ?

- Salut Hellie ! Me lança une voix inconnue. Je me retournai, j'ai cru que j'allais faire une crise cardiaque. C'est vrai, il est 18h00 du soir, il fait nuit parce que nous sommes en automne, et en plus demain c'est Halloween. Et cette personne n'avait rien trouvé de mieux que de surgir de l'ombre d'un coup pour me ficher la trouille. Je fis un pas en arrière, mais je fus quand même soulagée en voyant que c'était Will. Je soupirai soulagée, d'ailleurs qu'est-ce qu'il faisait la lui ?

- Salut ... Will. Tu .. Fais quoi ici ? Ma voix sonnait faux dans mon intrigante question. Le jeune brun se contenta de lever un sourcil et me dévisager.

- Je te retourne la question ! Ton père ne devait pas venir te chercher ? Sourit-il. Bien, si on continuait à jouer à ce jeu-là, demain on y était encore. D'ailleurs comment il savait tout ça ? Il me connaissait à peine et en savait déjà plus qu'autre chose. Je ne vous ai pas dit ? Je suis nouvelle dans ce lycée.

- Comment ça se fait que tu en saches autant, dit moi ? Demandai-je. Il se contenta de hausser les épaules et de piétiner sur place.

- Laisse, ton père n'a pas l'air d'être là, tu veux que je te ramène ?

- Tu changes de sujet là !

- A moins que tu ne préferes marcher toute seule ..

- Bon, t'as gagné ! Grommelai-je. Il sourit, vainqueur d'avoir réussi à me contredire. Je soupirai et le suivis dans le parking du lycée. Tout était calme, le silence régnait et la pénombre aussi. Le vent fouettait les arbres, sifflant avec menace. Quelques élèves fumaient assis sur le mur de l'école, nous regardant comme si on était des proies. Mais Will faisant parti de l'équipe de football, il savait bien à qui il avait à faire. J'étais un peu nerveuse pour vous dire, j'avais pas l'habitude de monter avec un garçon, seule, dans le noir le soir. Will remarqua mon expression.

- Tu n'as pas de soucis à te faire, je ne vais pas te violer. Dit-il en ouvrant la portière de sa Mégane. Je grimaçais, puis fit de même. A l'intérieur, tout était neuf et une merveilleuse odeur de camomille flottait dans l'air. Je n'avais presque pas envie de m'asseoir tellement la propreté était superbe. Je refermai la portière et attachai ma ceinture, Will mit la sienne et fit rugir le moteur avec ténacité, on voyait bien que cette beauté en avait dans le ventre. Le silence retomba sur la route, se fut Will qui le brisa le premier.

- Tu viendras à la fête du lycée ? La fête d'Halloween. Demanda-t-il. Je tournai la tête vers lui, comme ci on venait de m'annoncer un mariage. La nuit continuait de défiler sous mes yeux, j'ordonnais à Will de tourner à droite.

- Personne ne te l'a annoncé ? Me demanda-t-il. Je baissai alors légèrement les yeux, non personne ne me l'avait vraiment annoncé .. j'étais nouvelle et je n'avais pas vraiment encore d'amis. Will remarqua mon expression et tourna la tête vers moi. Dans tous les cas je lui aurais dit de regarder la route, c'est surement ce que j'allais faire, mais on était déjà chez moi.

- Tu sais, être nouvelle c'est pas facile .. Soupirai-je. Il hocha la tête, perplexe.

- Tu es nouvelle en Amérique ? Demanda-t-il. Bizarre, tout le monde me posait cette question, ça se voyait temps que ça que je venais de France ?

- Oui, bizarrement tout le monde me pose la question .. Ca se voit t'en que ça ? Soupirai-je à nouveau. Will étouffa un rire, puis il se reprit en mains voyant ma tête.

- Demain, je te montre les coutumes de l'Amérique, si tu le souhaites ! Nous les Américains nous sommes différent des français. Proposa t-il. J'hochai la tête, il est vrai qu'avant de devenir une star, je dois découvrir des tonnes de choses. Et Will était assez sympa et mignon. J'ouvris la porte et sortis de la voiture, je tournai alors la tête vers Will avec un sourire.

- Merci

- Pas de quoi, à demain ! Sur ce, il démarra à pleine dent faisant voler sa voiture sur la route. Espérons que la police ne le chope pas. Je me rendis alors sur le bas de la porte, j'allais l'ouvrir, quand, aussi surprenant que ça puisse être elle s'ouvrit toute seule. Je fis un pas en arrière, j'avais le coeur qui battait à cent à l'heure. Ce n'était rien d'autre que mon petit frère, Bryan.

- Hellie a un amoureux ? Demanda t-il un grand sourire cynique au visage. Je me demandais si il y avait des centres pour petits frères de huit ans battus. Si ce n'est pas le cas, je pense que ça ne saurait tarder. J'allais l'étriper quand mon père s'approcha de nous.

- Excuse-moi Hellie, mon patron ma retenu pour m'expliquer mon nouveau travail. Je commence demain. S'excusa t-il. Bryan me regarde un grand sourire aux lèvres, il me fit frissonner, j'allais lui en mettre une, mais mon père reteint ma main de justesse.

- Hellie, ne tape pas ton frère. Grogna t-il. Je soupirai, Bryan me tira la langue et partit s'amuser à la console. Un jour, ses jeux disparaîtront mystérieusement, croyez moi. Mon père se remettait à cuisiner, quand à moi j'ouvris l'armoire et pris les assiettes pour les déposer sur la table. Soudain quelque chose déboula des escalier, c'était mon chien Holiday, décidément j'étais une vraie trouillarde, j'avais remarqué que j'avais fais deux pas en arrière. Bryan se mit à se moquer de moi. Je regardais l'assiette, peut être pouvais-je lui refaire son portrait ? Les yeux de mon père me disait vaguement que c'était une mauvaise idée. Holi me regardait en remuant la queue, je lui souris et lui adressai une caresse sur la tête. Le chien aboya joyeusement et se dirigea vers mon petit frère pour lui monter dessus. Bryan se mit à crier sur Holiday pour qu'il descende, mais le Berger Allemand lui tenait tête. Je me mis alors à rigoler, ce que mon chien pouvait me comprendre ! Mon père soupira, il devait surement nous trouver gamin. Je portai mes doigts à la bouche et sifflai, Holiday leva les oreilles et revenu automatiquement vers moi. Je lui adressai une petite tape suivis d'un mot gentil, il me fit une lèche sur la main et partit s'installer devant la télé. Avec tous les cris de mon frère, je me demandais comment il faisait pour le supporter. J'ouvris le frigo et mis la bière pour mon père, le coca pour moi et Bryan, et quelques yaourts. Le soir passa incroyablement vite, il commençait même à passer des histoires d'horreurs à la télé. J'étais en pyjama sur mon lit. L'ordinateur sur le ventre, je regardais ce que pouvait bien me réserver l'Amérique. Avant, j'habitais en France. A Paris plus exactement. Mais depuis la mort de ma mère – Elle est morte d'un naufrage de bateau, les secours ont jamais retrouvé son corps- mon père avait décidé de changer de vie et de changer d'air. Alors voilà ça fait depuis une semaine que je suis en Amérique. Et je ne m'en plains pas du tout, l'Amérique a toujours été ce que j'ai voulu. Il y'avait des choses intéressantes sur Broadway. Je me mis à bailler, il était l'heure de dormir. J'éteignis mon ordinateur et m'enroulai dans les couettes chaudes.

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Will.

[ en cour]